Sandrine
Datte: 29/09/2020,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
telnet,
Oral
pénétratio,
Auteur: Verdu, Source: Revebebe
... tôt, je n’ai pas eu le temps de finir de me préparer.
Elle porte une robe longue et a les cheveux légèrement décoiffés.
— On ne fait que prendre un café ! On ne sort pas dans une soirée mondaine ! Et on sait que le plus important n’est pas l’apparence que nous avons, mais ce que nous sommes. Nous en avons longuement discuté.
— Oui ! me dit-elle en riant et en me déposant un baiser sur la joue. Viens entre !
Je la suis au salon où elle a préparé un petit plateau avec les tasses et des petits gâteaux. Nous nous asseyons sur le canapé l’un à côté de l’autre. Sa robe est un peu remontée et dévoile un peu sa cuisse. Tandis qu’elle se penche pour servir le café, je peux entrevoir une poitrine généreuse. Le téléviseur allumé diffuse en fond sonore une émission de variétés.
Assis l’un près de l’autre à grignoter ses gâteaux, nous évoquons notre vie passée, nos loisirs et peu à peu, la soirée avançant, nos cuisses se frôlent. Sa main se pose sur mon genou, je lui souris, je passe mon bras derrière sa nuque et pose ma main sur son épaule. Sa tête bascule vers moi. Nos lèvres se frôlent, puis se soudent et nous échangeons un baiser comme je n’en ai pas connu depuis des mois, voire des années. Je sens sa main remonter et masser mon entrejambe. Elle ne peut ignorer ma réaction et se recule en souriant.
— Je te fais de l’effet…
Que puis-je répondre ? Bien sûr qu’elle me fait de l’effet, cela fait si longtemps que je n’ai pas été aussi proche d’une femme que le ...
... contraire aurait été étonnant. Je lui souris en retour, pose ma main sur sa cuisse et la masse doucement. Nous ne parlons pas et reprenons notre baiser. Ma main remonte doucement sur la peau nue et tiède tandis que nos langues dansent de concert. J’arrive à la fine barrière de dentelle qui protège son trésor intime et elle me repousse doucement en me disant :
— Tu es venu pour prendre le café…
Nous nous réinstallons pour pouvoir boire confortablement sans risque de catastrophe, mais elle ne m’empêche pas de lui caresser la cuisse. Quand je finis ma tasse, elle me la prend pour la reposer et m’invite à la suivre à l’étage. Dans l’escalier, je fais glisser ma main sur ses fesses et c’est ainsi que nous arrivons devant son lit.
Nous reprenons alors nos baisers et elle m’allonge sur le matelas. Ses doigts agiles dégrafent les boutons de mon pantalon et ses lèvres quittent les miennes pour descendre vers la partie de mon corps qu’elle vient de libérer. Quelques secondes plus tard, elle referme sa bouche sur mon sexe et je sens sa langue jouer autour de lui. Troublé par cette caresse et par l’excitation qui me traverse, je ne peux me retenir et explose rapidement dans sa bouche. Lorsqu’elle se relève, souriante, fière de son coup, je la regarde d’un air contrit. Elle comprend ma gêne et avant que je ne puisse prononcer un mot, elle me rassure :
— Ce n’est rien, c’était agréable ?
— Oui, mais… et toi ?
— Nous avons toute la soirée !
Sandrine vient alors au-dessus de moi et ...