comment je suis devenue la chienne de mon beau-pèr
Datte: 28/09/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
Julien s’est étonné de me voir épilée, je lui ai dit que je me rasais pour une question d’hygiène. Il n’a pas insisté. Je mettais le corset à chaque fois qu’il quittait la maison. Au début, comme il me serrait, cela me gênait sans pour autant me faire mal, mais j’ai fini par m’y habituer. Le fait qu’il faisait ressortir ma poitrine et mes fesses me rendait indécente et m’excitait au point qu’il m’arrivait de mouiller sans que je me touche. Je mettais aussi les bas de soie, attachés avec des jarretelles. J’aimais les porter car ils étaient très doux, rien à voir avec des bas en nylon. Bien sur, je portais également les escarpins et je me coiffais en palmier, même si cela me gênait, car j’avais encore un souvenir cuisant de la punition que Monsieur m’avait administrée. Je ne l’avais pas vu depuis une semaine et il me manquait. Julien s’est inquiété de me voir triste et je lui ai répondu que j’avais mal à la tête. Je me masturbais fréquemment en pensant à mon amant mais le plaisir que j’en ressentais faisait pâle figure à côté des orgasmes qu’il m’avait procurés. Même les pénétrations de mon petit mari ne me donnaient pas ce dont j’avais besoins. Sans m’en rendre compte, j’étais devenue accro à la bite de mon nouveau maître. Le fait que je le soupçonnais d’aller voir d’autres femmes me rendait jalouse. J’étais certaine qu’il baisait cette lesbienne de Louise et probablement d’autres salopes dans le même genre. Je réfléchissais à un moyen de le garder pour moi toute seule, et à ...
... force de gamberger, je me suis résolue de lui demander de faire de moi son esclave, à condition qu’il ne me laisse plus seule aussi longtemps. J’étais décidée à me mettre accroupie les cuisses bien écartées pour lui faire ma demande dès qu’il franchirait le seuil de l’appartement.
Quand j’ai entendu le bruit de la serrure de l’appartement, j’étais dans le salon, heureusement en tenue complète de petite chienne. Mon cœur s’est emballé et je me suis mise immédiatement en position d’attente, mains sur la nuque et jambes écartées de 50 centimètres. Quand il est entré dans la pièce, mes jambes sont devenues cotonneuses et j’ai senti mes tétons durcir et pointer. Mon clitoris a fait pareil et est sorti de sa cachette. Monsieur a souri en me voyant. Il s’est approché de moi lentement et a demandé : « Je t’ai manqué petite cochonne ?! ». Je me suis immédiatement mise accroupie, les cuisses bien écartées de chaque côté de ses jambes, et j’ai répondu : « Oui Monsieur, vous m’avez terriblement manqué. Faites de moi votre pute, votre esclave ou ce que vous voudrez, mais je vous en supplie, ne me laissez plus jamais seule aussi longtemps ». Il a ri et a dit: « Décidément, tu n’as rien compris, le manque fait partie de ton dressage, de manière à bien imprimer dans ta petite tête de linotte que c’est quand je veux et comme je veux ! Mais je te pardonne, déshabilles moi et vas me chercher une bière ! ». J’ai obéi immédiatement mais je n’osais pas aller trop vite de peur de le fâcher et ...