1. Rendez-vous involontaire


    Datte: 27/09/2020, Catégories: fh, grp, extracon, inconnu, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral attache, exercice, aventure, sf, extraconj, Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe

    ... femmes n’avaient plus de raison d’être. Elle pompait toujours, et le phénomène se reproduisit. Une Université fut alertée et vint étudier les symptômes, qui semblaient revenir de plus en plus souvent. Une équipe constata qu’alors que Sasha pompait, son sexe semblait sécréter un liquide visqueux et plus ou moins transparent. Le phénomène ne s’arrêtait pas là, la température de Sasha montait, provoquant l’apparition de rougeurs un peu partout sur le corps. Après des mois d’étude, le phénomène fut appelé « plaisir » et fut, bien entendu, condamné, car entravant l’activité de l’homme.
    
    L’étude se poursuivit et d’autres mots furent créés, comme « excitation », « orgasme ». Ce dernier mot provoqua, d’ailleurs, un grand scandale, puisqu’il marquait l’apogée du « plaisir » de la femme et la rendait indisponible pour un moment plus ou moins long. Situation intolérable, s’il en est. Quelques tentatives furent lancées pour remédier au problème, mais aucune ne fonctionna. Partant du principe que, s’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème, l’Université publia son rapport et régla le compte de Sasha, désormais inutile. Personne ne sut si la publication joua un rôle, mais le phénomène se reproduisit. Pire, il s’amplifia. Les protestations d’hommes s’accumulaient et de plus en plus de femmes interrompaient leur pompage pour succomber au plaisir. Force fut de constater qu’il y avait bien un problème.
    
    L’Université se débarrassa définitivement de la première équipe, ...
    ... constituée d’incompétents, et en dépêcha une seconde. Les femmes avaient, bien involontairement, rencontré le plaisir, il fallait que ça cesse. La seconde équipe décida d’étudier le moment qui précédait l’arrivée du plaisir. Cette piste sembla prometteuse, et il fut découvert que la vision jouait un rôle primordial dans l’apparition des symptômes. Pour contrer le rôle de la vue, l’équipe proposa un dispositif ingénieux. Ils prirent une planche qu’ils percèrent d’un trou de diamètre assez large pour passer l’excroissance de l’homme. Ainsi privée de stimulus, la femme ne devrait plus ressentir de plaisir. L’introduction de cette planche eut, au départ, les résultats attendus. Mais elle avait un gros inconvénient, elle pesait environ trente kilos et était difficilement transportable. Une version plus légère, constituée d’une robe recouvrant intégralement la femme, y compris sa tête, fut inventée. Cette robe était dépourvue d’ouverture, à l’exception d’une grille au niveau du visage. Pour accéder aux autres orifices, il suffisait de remonter la robe.
    
    Malgré tous ces efforts, le phénomène réapparut. Des mots comme « salope » et « cochonne » furent inventés. L’homme finit par trouver une solution fonctionnelle, appelée le « taquet dans ta bouche », qui, surtout couplée à la robe, eut des résultats satisfaisants. La vie pu reprendre son cours : les hommes limaient, les femmes pompaient.
    
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    — Douze, ils seront douze, douze apôtres, Madame, à venir s’asseoir à ...
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