1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°951)


    Datte: 19/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°948) –
    
    - Je Vous remercie pour votre accueil, il y avait bien longtemps que nous ne nous étions vus ! (Puis se tournant vers moi) Chienne, reprends donc ta place et va saluer notre hôte.
    
    Lentement, en baissant la tête, je me dévêtis, et laissant les vêtements là où ils étaient tombés, je me mis à quatre pattes, me dirigeais vers l’homme qui nous recevait, et me prosternais devant lui. Il me regardait, je sentais son regard fixe posé sur moi. Il commença à faire le tour de mon corps plaqué au sol, laissant trainer une main baladeuse sur mon dos, sur mes fesses, mais sans chercher à descendre plus bas.
    
    - Vous semblez posséder une bien belle femelle, mon cher ami ! Et je vois qu’elle est marquée. Pensez-Vous l’emmener au Grand Marché ?
    
    - Effectivement, j’en suis plutôt fier. Elle m’y accompagnera, mais seulement pour observer et aussi pour un côté plus professionnel. Je n’envisage ni un échange, ni une vente.
    
    - Dommage, je me serais peut-être porté acquéreur, une si belle pièce ! Votre réputation n’est plus à faire, même dans ces contrées reculées. Et chacun sait qu’une chienne portant Vos nobles Initiales est un bien de valeur sûre !
    
    - Qu’à cela ne tienne ! Je ne veux pas la vendre, mais je peux vous la laisser à disposition autant que possible le temps de mon séjour ici.
    
    - Je Vous remercie pour Votre proposition cher Marquis, et je l’accepte avec grand plaisir ! Allons en parler devant un ...
    ... rafraichissement, je suppose, non sans mal, que le voyage a été long et fatiguant.
    
    - Incontestablement, venir dans cet endroit magnifique se mérite ! répondit-Il avec un grand sourire. Allons ma chienne, suis-nous !
    
    Ces quelques mots que les deux hommes venaient d’échanger m’avaient fait peur un moment. Vendue ou échangée ? Quitter le Maître ? Définitivement ? Non, je ne pouvais l’imaginer ! J’avais eu du mal à contrôler mon émotion, et à ne pas laisser échapper une larme. En revanche, je n’avais pas pu réprimer un frisson ! Mais savoir qu’Il n’avait aucunement l’intention de me vendre m’avait rassurée et soulagée, et je me sentais prête à obéir à quelque ordre que me donnerait notre hôte, puisque c’était pour la satisfaction de Monsieur le Marquis ! Nous fûmes donc conduits dans un salon décoré simplement mais avec beaucoup de goût et la pièce respirait la sérénité et le calme. Je suivais évidemment à quatre pattes. Quand les deux Dominants s’installèrent dans des fauteuils en teck, comme le reste du mobilier, sur lesquels étaient posés de confortables coussins recouverts de laine de chèvre tibétaine. D’un claquement de doigts, je vins me placer à genoux aux côtés du Maître, qui d’un geste m’indiqua que je pouvais reposer mes fesses sur mes genoux. Un serviteur, entièrement nu, apporta du Qingke Jiu, boisson à base d’orge fermentée dont le titrage pouvait aller de celui d'un vin à celui de gnoles redoutables. Celui qui était servi était d’un titrage assez doux pour le voyageur fatigué ...
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