1. Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (2 / 3)


    Datte: 25/09/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, essayage, cinéma, école, fsoumise, hdomine, chantage, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... jusqu’à ce que tu en débordes.
    
    Il n’en fallait pas plus pour me faire chavirer !
    
    Raconter par le détail cette nuit brûlante avec Abou relève de l’impossible, tant il m’a comblé les sens. Cependant, je la résumerais ainsi.
    
    J’ai aimé :
    
    J’ai redouté :
    
    Ce n’est que vers 11 h que je me suis réveillée, les sens totalement comblés, Abou dormant à côté de moi d’un sommeil pour le moins réparateur. Son visage reposé est celui d’un adolescent. Mes draps sentent l’amour, et je me suis souvenue des paroles de la chanson : « Je l’ai serrée si fort que les draps s’en souviennent ». J’ai contemplé un moment le corps de mon jeune amant, ce sourire satisfait qui semblait flotter sur ses lèvres, l’ébène de cette peau d’homme que je n’aurais jamais imaginé dans mon lit.
    
    Lorsque le corps est bien, l’esprit est plus agile. Il me faut coûte que coûte détruire les photos del’Origine du Monde, du moins celles qui me concernent directement s’il y en a plusieurs. Par ailleurs, j’ai à nouveau craqué pour Abou, mais je ne le regrette pas, j’ai passé une nuit proprement merveilleuse. J’ai l’intime conviction qu’Abou était sincère lorsqu’il m’a raconté l’épisode de la voiture, et donc je dois en faire mon allié, pour récupérer ces photos ; mais il est manifestement sous l’influence de son cousin (son oncle ?). Comment m’en assurer ? Une idée germe dans mon esprit… EURÊKA, comme disait l’autre.
    
    En me levant doucement pour ne pas l’éveiller, je me rends compte que je déborde de toute ...
    ... la semence d’Abou. Une douche réparatrice, mon déshabillé le plus coquin, et me voilà faisant le café.
    
    Heureusement, il me reste deux croissants congelés. J’arrive avec le café fumant et les croissants. Il dort encore. Je repousse le drap et effleure SON Mandrin. Celui-ci se redresse, enfin à moitié, et mon bel étalon noir ouvre un œil endormi. Je joue avec L’Objet, il ouvre le second œil, et son regard s’allume. Est-ce l’odeur du café, ou mon déshabillé ? Probablement, les deux, car il m’enveloppe la croupe d’une main pour la flatter et attrape un croissant de l’autre. Je lui baise les lèvres en le remerciant pour la plus belle nuit d’amour que j’ai jamais connue, lui tends un café fumant. Il s’étire, me palpe comme un maquignon et découvre ses belles dents blanches d’un ravissant sourire.
    
    Après une telle nuit d’amour, nous sommes en confidence ! L’air de rien, je lui suggère que c’est quand même mieux quand on est tous les deux sans Youssef pour me mater et le sonde sans en avoir l’air sur leurs rapports. Tout en continuant à m’effleurer des doigts, il m’explique que Youssef, c’est un peu comme son père, qui est resté au Bénin, Que c’est grâce à lui qu’il a pu obtenir des papiers et étudier en France, et que, si je le connaissais mieux, je saurais l’apprécier. Je comprends parfaitement le double sens par mieux connaître, mais joue l’innocente (il m’arrive de l’être !).
    
    Tout naturellement, cela m’amène à l’interroger ensuite sur les pratiques échangistes dans son ...
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