Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (12)
Datte: 25/09/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
On est arrivé aux bains, ils étaient partis devant pendant que je garais la voiture. Dans la file d’attente ils discutaient tous les deux, moi j’étais derrière. Ils m’ont fait passer devant au moment d’arriver en caisse.
J’ai payé les entrées, Stéphanie est allée côté femmes. Côté hommes, beaucoup de cabines fermées, Karim me dit qu’il y en avait une libre, une cabine familiale. On est entrés. J’étais un peu gêné, même s’il m’avait déjà vu nu, et moi aussi, mais cela faisait longtemps, et j’avais peur de re-rentrer dans ce rapport de force, évidemment très à mon désavantage. J’avais à peine fermé la porte que Karim était déjà à poil. Je ne pus m’empêcher de rester bouche bée devant lui. Il était encore plus beau et plus impressionnant (sur tous les plans) que dans mes souvenirs). Il me regarda en souriant.
— T’as pas changé toi, toujours cette petite lopette hein ? Allez t’inquiète, profite du spectacle je dirai rien.
Je ne répondis même pas, j’essayais de me concentrer pour me calmer, car je sentais mon zizi durcir dangereusement, sans même savoir pourquoi.
— Magne toi, j’ai envie d’aller dans l’eau moi.
Je commençais à me déshabiller, luttant contre l’excitation, je me tournais un peu. Je finis par être nu, devant lui. Il éclata de rire.
— Putain mais tu bandes là ?
— Non, non.
— Hey, je te connais, là tu bandes. Sinon, elle serait encore plus petite. En tout cas t’as pas changé à ce niveau là non plus. Putain mec, comme t’as fait pour te chopper une ...
... bombe comme Stéphanie ? Sérieux ?
— On s’entend bien.
— Ouais j’imagine, parce que j’avais presque oublier à quel point t’étais ridicule. Bon allez, file mon maillot.
J’ouvris le sac et en sortais le contenu : une seule serviette (j’en avais pourtant mis deux dans le sac, j’en étais sûr) et deux slips de bain (j’avais pourtant mis un short maillot de bain pour moi, j’en étais tout aussi certain). Je vidais un peu frénétiquement le sac, le retournais, commençant à paniquer. Karim sourit.
— Bon, moi je prends la serviette.
— Putain mais j’en avais mis deux. Et puis je ne trouve pas mon maillot.
— Mais si Mat, il est là.
Il me tendit un slip de bain qui semblait tout petit.
— Tu plaisantes ou quoi ? C’est pas mon maillot, j’ai mis un maillot à moi dans le sac, merde il est où ? Allez rends le moi, c’est pas drôle !
— Tu crois que je l’ai planqué où ton maillot ? Entre mes couilles ? Et puis il est là je te dis (m’a-t-il dit en tendant le slip).
— Mais arrête, en plus c’est un truc pour enfant, et je ne sais même pas d’où il sort.
— C’est mon cadeau pour te remercier de ton hospitalité.
— Quoi ?
— Je te l’offre, c’est sympa de m’héberger ces quelques jours, je l’ai acheté exprès pour toi l’autre jour pendant que Stéphanie achetait ses trucs. Regarde c’est le même que le mien !
— Mais c’est un modèle pour enfant !
— Ca va, crane pas, il va très bien t’aller.
— Et en plus tu dis que tu me l’offres, mais tu l’as payé comment ?
— Ah ...