1. US4 Emerancy devient compagne


    Datte: 25/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Tigre blanc, Source: Hds

    ... doucement, poussant son gode massif en moi de quelques centimètres.
    
    Puis elle se met à le remuer doucement, à l’agiter d’avant en arrière, de bas en haut, à le faire aller et venir dans mon anus. Et elle garde sa main fermée sur mes bourses comprimées. Mes mouvements sont limités, saccadés. J’ahane à chacun de ses gestes. Je sens son souffle chaud dans mon cou. Je n’en peux plus. J’ai envie de hurler. De rage, de plaisir et d’impuissance. Et enfin, soudain, sans lâcher son arme qui dépasse de mes fesses, elle repasse devant moi et s’agenouille à mes pieds. Je fais des efforts désordonnés pour tenter d’enfoncer mon pieu tendu dans sa bouche, mais elle évite soigneusement toutes mes tentatives. Et elle continue de me sodomiser avec malice.
    
    — Je t’en supplie, Emérancy… me plains-je.
    
    Elle ouvre grand la bouche à quelques centimètres de mon gland prêt à exploser. Je me dandine encore en bramant. Elle accélère le rythme du gode qui me défonce toujours. Je suis crispé de partout, cherchant par tous les moyens à minimiser ma frustration. Et elle avance finalement quelque peu sa tête et referme enfin, enfin, ses lèvres sur mon sexe en feu. Je me déhanche le plus possible pour faire glisser ma verge dans sa bouche.
    
    Et trois ou quatre ...
    ... allers-retours suffisent. Dans un grand hurlement libérateur, poussé au paroxysme de l’excitation par toute sa mise en scène, et par son gode maléfique, je me vide par saccades ; le sperme jaillit dans la bouche d’Emérancy, qui prend soin de ne pas en perdre une goutte et darde dans mes yeux fous les siens, espiègles.
    
    Mon cœur bat la chamade et je transpire à grosses gouttes. Je commence à avoir mal aux poignets et aux chevilles. Je reprends doucement mon souffle.
    
    J’expulse lentement le gode qu’Emérancy a enfin lâché et qui tombe et roule à terre derrière moi. Elle se relève, gardant soigneusement la bouche fermée. Et une fois debout devant moi, à ma hauteur, quand je suis enfin quelque peu apaisé, elle déglutit ostensiblement. Je pousse encore une sorte de soupir ou de râle de contentement et d’incrédulité. Emérancy se baisse pour ramasser le gode.
    
    — Tu es incroyable ! Lâché-je enfin.
    
    Elle ne répond rien. J’attends qu’elle me libère. Mais elle s’éloigne vers la salle de bains jouxtant la chambre, où je l’entends ensuite apparemment laver l’objet.
    
    — Euh… Emérancy ? Tu veux bien venir me détacher ?
    
    Sa voix narquoise me répond depuis la pièce voisine :
    
    — Tu plaisantes ? Je suis loin d’en avoir terminé avec toi…
    
    ……………. Par Tigre Blanc 
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