1. US4 Emerancy devient compagne


    Datte: 25/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Tigre blanc, Source: Hds

    ... pas trop fan de ces machins-là, tu sais.
    
    — Tu peux encore refuser, me rétorque-t-elle encore une fois en se frottant doucement contre mon entrejambe.
    
    Mais non, je n’ai pas envie de refuser. Je lui souris.
    
    — Et alors ? Où veux-tu m’attacher ?
    
    Et tandis que je lève les yeux en cherchant où elle pourra le faire, j’aperçois une grosse chaîne pendant le long d’un des murs, où elle semble solidement arrimée au tuyau du chauffage.
    
    — Mais qu’est-ce que c’est q… commencé-je, inquiet. Qui a fait ce montage, Bernard ?
    
    — D’abord, tu vas te déshabiller, me coupe sèchement Emérancy.
    
    J’hésite un instant, puis, l’excitation prenant le dessus, m’exécute, rapidement. Elle me regarde faire puis branle rapidement mon sexe légèrement gonflé. Je lui repose ma question. Elle ne répond rien et se contente d’ouvrir une des menottes qu’elle passe autour de mon poignet droit. Elle attache mon bras tendu au tuyau de descente du chauffage central qui passe le long d’un mur. Je la regarde faire, plutôt amusé. Sans un mot, elle attache mon pied droit à ce même tuyau, tout en bas. Puis, m’obligeant à écarter amplement les jambes, elle arrime ma cheville gauche à un des pieds du lit.
    
    Je n’ai plus que mon bras gauche de libre mais n’ai déjà plus qu’une marge de manœuvre réduite. Alors elle referme la dernière menotte sur mon poignet gauche et la tire pour aller l’accrocher à la chaîne qui pend du mur.
    
    Je la laisse faire, encore amusé, puis me débats quelque peu pour tester la ...
    ... solidité de son procédé. Mais il n’y a pas à dire : ça résiste. Ça résiste même trop. Un doute m’envahit…
    
    Mais elle ne me laisse pas le temps de m’inquiéter ou d’imaginer quoi que ce soit et déclenche immédiatement les hostilités : en me regardant, elle se déshabille lentement, sensuellement, en se déhanchant exagérément. Après avoir retiré son tee-shirt et son soutien-gorge, elle se cambre au maximum en retirant doucement son jean, et s’approche tout près de moi. Ses seins lourds et nus sont tout près de mon visage. Je fais un mouvement brusque pour essayer d’en approcher mes mains, mais, maintenu par les menottes, je ne parviens à les bouger que de quelques centimètres. En voyant que son dispositif est redoutablement efficace, elle ne peut s’empêcher de sourire. Puis elle se met à se caresser lascivement en achevant de se dévêtir. Elle s’approche encore et vient frôler mon corps, collant presque d’abord ses seins à mon torse, puis effleurant mon sexe tendu de ses fesses qu’elle s’amuse à osciller juste sous mon nez. Je bande à tout rompre et n’ai qu’une envie : qu’elle s’occupe de moi plus sérieusement. Mais à présent nue, elle s’éloigne jusqu’à sa table de nuit d’où elle sort, sous mes yeux sidérés, un long et épais godemiché rose pâle, comme l’intérieur de son sexe qui tranche avec la noirceur des alentours. Oui, je ne vous ai pas dit, mais elle est noire, une noire ébène ….. Son gode, parfaite imitation d’une verge bandée, mais bien plus grosse que la mienne. Et elle ...
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