1. Le peignoir en soie


    Datte: 24/09/2020, Catégories: fh, asie, fépilée, magasin, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, nostalgie, Auteur: Poisonpen69, Source: Revebebe

    Cette singulière histoire date maintenant de plus de dix ans. À l’époque, je voyageais souvent en Asie pour mon travail. Je n’ai, à la vérité, jamais été très porté sur le sexe. Après quelques années de mariage et deux enfants, mon épouse avait déjà, à cette époque, refroidi mes fantasmes de jeunesse et l’infidélité, trop compliquée, ne m’avait jamais tenté.
    
    Bien sûr, les relations d’affaires en Asie passent souvent, surtout en Chine, par le bordel. J’avais goûté la douceur sucrée de la peau de quelques putes de Pékin ou de Shanghai, mais malgré un esprit embrumé par les vapeurs d’alcool fort et les invitations répétées à finir la soirée dans la chambre d’hôtel, j’avais toujours refusé d’aller plus loin. Une seule fois, une fille un peu plus entreprenante m’avait frénétiquement sucé sans me demander mon avis dans un couloir sombre d’un claque d’une ville de province. Appuyé sur une commode où trônait un bouddha de pacotille, j’avais éjaculé sur une cloison en bambou. Le sordide m’était apparu à son comble quand j’avais sorti quelques billets de ma poche à la demande insistante de ma partenaire.
    
    Ce jour-là, j’étais à Tokyo et je m’étais levé d’assez bonne heure pour aller acheter un cadeau d’anniversaire pour mon épouse. Elle avait dû me glisser un jour qu’elle adorait les peignoirs en soie. J’avais gagné pas mal d’argent après la signature d’un gros contrat et j’avais demandé à une collègue japonaise de m’indiquer un endroit où je pourrais trouver l’objet convoité. ...
    ... Elle m’avait écrit l’adresse en japonais sur le dos d’une carte de visite.
    
    Le chauffeur de taxi me rendit la carte de visite et me désigna du doigt le magasin. En sortant de la voiture, le froid me pinça. Il était encore tôt, nous étions en février et, malgré un temps clair, le soleil d’hiver blafard de Tokyo n’arrivait pas à réchauffer l’atmosphère. Je relevai le col de mon manteau et traversai la rue. Le magasin présentait de façon dépouillée quelques modèles très chics en vitrine ; j’eus un peu peur des prix, mais j’ouvris la porte. Le magasin baignait dans une lumière douce et une dame d’une cinquantaine d’années me salua en japonais, puis s’adressa à moi dans un anglais impeccable :
    
    — Il est bien tôt. Que puis-je faire pour votre service à cette heure si matinale, cher Monsieur ? Je suis Madame Ishahi, la responsable de ce magasin.
    
    Je lui expliquai brièvement l’objet de ma venue et elle m’invita à la suivre dans une salle contiguë où un nombre incroyable de vêtements pendaient sur des cintres. Je dus laisser paraître un air de découragement car mon hôtesse éclata de rire.
    
    — Ne vous inquiétez pas, cher Monsieur, nous allons vous aider dans votre choix. Pour commencer, montrez-moi quelques modèles qui pourraient plaire à votre épouse !
    
    Je m’avançai et ma main parcourut les étoffes soyeuses. Je montrai quelques modèles aux tons pastel qui me semblaient convenir. Mme Ishadi m’en présenta d’autres. Au bout d’un moment, nous en avions sélectionné cinq ou six. La ...
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