Nathofferte (7)
Datte: 24/09/2020,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Auteur: NathOfferte, Source: xHamster
... collégiens. Nos mains s’entortillent, se caressent et j’avoue que c’est assez érotique. Bon je prends doucement sa nuque et lui tend mes lèvres.
Il m’embrasse avec douceur du bout des lèvres, butinant léger comme un papillon. Je lui offre ma langue, croise la sienne et les voilà qui s’enroulent dans de longs baisers humides. J’aime embrasser. Vraiment. Mes mains enlacent Romain et courent sur son dos musclé en se glissant sous sa chemise, je le sens frissonner de plaisir et sa langue s’enhardit dans ma bouche, léchante virevoltante. C’est vrai que j’aime ça mais j’en rajoute un peu en gémissant doucement pour lui donner confiance.
Si j’étais moins gourde, je lui demanderais de me déshabiller mais je n’ose pas. Alors nous flirtons encore longtemps. Enfin, je lui demande d’ôter sa chemise. Il a un torse musclé imberbe, la peau très douce. Embrassades à nouveau, je caresse son torse et j’avoue que mon excitation qui était tapie dans une fausse pudibonderie se révèle. J’ai envie de lui. Je me colle à lui, j’ai envie d’être seins nus contre lui et je lui sussure à l’oreille de déboutonner mon chemisier. Il s’exécute et je sens son excitation monter encore lorsqu’il découvre mes seins et mes tétons à peine voilés par le tulle de mon soutif. Il caresse mes épaules doucement sans un mot. Je retire moi-même mon soutif. Il mate mes nichons mais ne les touche pas.
Je me colle à lui écrasant ma poitrine contre la sienne. Il gémit et m’embrasse. C’est très bon pour moi aussi. ...
... Je jette un regard à mon mari, il a l’air aux anges, excité, et il me désigne la braguette de Romain du regard. Je fronce les sourcils comprenant qu’il aimerait que je sorte le sexe du jeune homme. Mais en fait, en regardant le jean de Romain, je réalise qu’il bande fort, déformant le tissu. Mon mari sourit et je pense : « ça te plait salaud, une bite bien dure pour ta femme ». n’empêche que ce sexe tendu est une invitation aux caresses. Je demande du champagne à mon mari. Il me sert. A ce moment j’ai le sentiment furtif d’un grand pouvoir. Je pourrais faire ce que je veux de ces deux là et j’avoue que cela me donne un surcroit d’excitation. Je bois mon verre sans plus de honte, dépoitrailllée, la bouche humide, les tétons tendus. Je prends la main de Romain et la pose sur mon sein, il caresse délicatement, les yeux de plus en plus brillants. Alors je lui dis, et ce sont vraiment mes mots : « tête moi ». Je ne crois pas avoir jamais dit cela à quelqu’un, mais en le disant je réalise que ce gars pourrait être mon fils, et je pique un fard. Lui ne le se fait pas dire deux fois, sa bouche se plaque sur mon téton et obéissant, il tête comme un bébé. Là je me laisse aller sur le canapé, offrant ma poitrine à sa bouche avide caressant sa nuque. Il me tête longtemps, suffisamment pour que je me rende compte du climat tropical au creux de mes cuisses. N’importe quel type même pas obsédé sexuel m’aurait déjà fouillée entre les cuisses mais lui reste sage, obéissant. Ce sentiment de ...