Au début - Histoires de Sexe

Au début

... verre de jus de fruit à portée de main.

— Clara, tu n’as pas dit la vérité, tout à l’heure…
— Quand cela ?

Clara savait ce que Marine voulait dire.

— Tu as dit que tu avais pris ton pied, je sais que non !
— Je, mais non, je suis plus discrète que toi, c’est tout !
— Clara, je ne vais pas te forcer, ni te violer, mais tu dois te laisser aller, on est tous des bons copains ici et tu en verras d’autres, aussi bien foutus qu’Alex et même mieux. Et il y aura des filles aussi, des vraies pêches, aussi belles et juteuses que toi. On aime bien se retrouver à poil et les parents ne disent rien, au contraire, tu verras, ma mère vient aussi. Mon père, lui est souvent absent, mais quand il est là il se met aussi à poil. Y’a pas de malaise, d’accord ? On aime bien quelquefois s’envoyer en l’air, mais on a toutes et tous des copains attitrés. Clara, je vais t’avouer quelque chose, j’aime aussi les filles, pas comme on aime un garçon, mais différemment, un peu comme on aime son reflet dans un miroir, comme on le caresse, comme on le frôle du bout des doigts…

Marine se penchait vers elle, et tout en parlant, suivait la courbe de sa gorge, glissant sur son sein, accrochant un téton gonflé de sang, redescendant sur ses côtes, puis laissant sa main courir sur la peau mouillée de Clara, lui caressait le ventre, enfonçant un doigt dans son nombril, la chatouillant. Sa voix se fit plus basse, plus secrète et chaude, Clara se surprit à l’aimer, à la trouver belle.

Puis sa main ...

... s’aventura plus bas, sur son pubis plus clair, et encore plus bas. Elle reprit son verre de jus d’orange et doucement versa sur le ventre de Clara le liquide sucré et collant qui coula dans son nombril puis dégoulina lentement entre ses cuisses. Clara se laissa faire, frissonnant sous le contact du jus glacé. Elle rentra son ventre, gardant le liquide dans le creux sous ses côtes, puis Marine éparpilla le liquide froid sur son ventre. Clara frissonna et retint sa main qui jouait avec les poils blonds et collants de son sexe, les bouclant autour de son doigt. Marine déposa un baiser sur ses seins nus, léchant le sirop qui les mouillait. Son autre main frôla les pointes de ses seins et celles-ci se dressèrent, énormes. Marine lui massa doucement les seins.

— Tu aimes ? Tes tétons sont superbes, ils sont si gros et si beaux !

Elle en prit un dans sa bouche et doucement la mordilla, la faisant gémir. Clara lâcha sa main écarta les jambes et s’ouvrit, relevant les genoux, faisant craquer ses articulations. Le liquide frais goutta doucement entre les lèvres de sa vulve, dans les poils blonds de sa toison.

— Tu sais, tu m’as sauvé la vie !

Clara ne répondit pas, abrutie par le plaisir qui sourdait des doigts de la jeune fille.

— Je me suis réveillée et j’ai senti tes mains sur moi, et j’ai vu le soleil entre tes cuisses, ça te faisait comme un poignard de lumière, comme un sexe qui pointait vers mon ventre, et cette vision, l’émotion, tes mains sur ma peau… j’ai joui ...