Ballade dans Paris
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Crabou, Source: Hds
... sadique, elle ne se fait pas prier. Elle déboutonne lentement le chemisier de Claire et lui enlève. Claire me fait face et met ses bras derrière son dos pour faire saillir sa poitrine. Chaque sein reçoit alors cinq coups.
Un petit attroupement se produit. Il faut dire qu'une femme torse nu en train de se faire flageller en pleine rue et qui semble y prendre goût n'est pas un spectacle courant.
Reprenant son chemisier, Claire dit à la dame:
• Vous voyez qu'on est très bien ici pour se faire plaisir…..
Le chemisier fermé par seulement quelques boutons, nous prenons le métro vers la rue du Prévost. Claire remonte l'arrière de son kilt et prend place sur un strapontin mais sans fermer les cuisses ou dans la rame suivante, se frotte comme par hasard contre les passagers dans le métro. Une main en profite pour se balader sous son kilt mai Claire se contente de soupirer lascivement sans se retourner. Ce trajet est en tout cas bien plaisant à nouveau.
A la sortie du métro, beaucoup de gens vont et viennent mais qu'importe (ou au contraire…..) Claire ôte à son chemisier, abordant fièrement ses seins nus marqués par les coups de cravache reçus à Pigalle. Elle ne prend pas la rue du Prévost mais plutôt la rue Miron, allongeant ainsi le trajet pour arriver à l'Escarpin.
A l'entrée de la rue du Prévôt, sa jupe tombe au sol et elle sort un long fouet de son sac et me le tend. Je sais parfaitement ce qu'elle attend de moi. Elle parcourt lentement la rue, profitant de son ...
... exhibition et retardant un peu le moment qu'elle attend avec impatience depuis le début de l'après-midi.
Elle sonne à l'Escarpin. Madame Stéphanie ouvre la porte, un peu étonnée du spectacle qu'elle découvre. Claire entre, descend l'escalier et se positionne au milieu de la pièce les mains en l'air en attendant que je l'attache à la chaîne qui pend du plafond.
Trois couples et deux hommes seuls sont présents. Ils arrêtent leurs jeux et admirent Claire.
Une fois attachée, Claire se contente de tourner son visage vers moi et de me sourire. Le fouet siffle dans l'air et claque une première fois son corps. Les coups tombent, n'épargnant aucune partie de son corps. C'est beau de voir son corps réagir, de l'entendre souffler ou gémir.
D'une part, je connais Claire de longue date et je sais de quoi elle a envie aujourd'hui, d'autre part, j'ai moi-même "subi" plusieurs fois ce fouet et j'en connais donc les effets.
De temps à autre, je m'arrête pour laisser Claire récupérer un peu et je lui demande
• Encore ?
même si je connais la réponse:
Et sans hésiter, elle me répond inlassablement
• Oui, encore et encore
Le fouet recommence alors à s'enrouler sur son corps, le marquant de ci de là. Je partage sa souffrance, guettant ses réactions pour amplifier encore ses sensations, allant au devant de ses envies exprimées au travers de ses regards.
Je sens l'excitation monter en moi au même rythme que le fouet la marque. J'ai de plus en plus envie de prendre sa ...