1. Confessions


    Datte: 19/04/2018, Catégories: hh, fhh, 2couples, fbi, hbi, jeunes, école, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... je n’allais pas non plus la violer sur place sans autre forme de procès.
    — Alors elle est venue.
    — Oui, Fred devait être absent pour une partie de l’après-midi. Lorsqu’elle est arrivée, j’ai eu un flash. Elle portait, sous un manteau, une robe très moulante. Elle était terriblement sexy ainsi, presque plus que lorsque je la voyais totalement nue. Je lui proposais le prendre un verre, qu’elle accepta. Je me retirai dans la minuscule cuisine pour lui servir le jus d’orange demandé. Lorsque je retournai dans la chambre-espace repas-bureau, elle avait ôté sa robe mais avait gardé sa lingerie fine : un ensemble Aubade des plus ravissants. Il s’agissait d’un soutien-gorge à balconnet (leçon n°6 : s’il résiste, pratiquez l’hypnose) galbant parfaitement ses seins et faisant remonter haut sa poitrine. Pour le bas, elle avait choisi un porte-jarretelles de dentelle finement ouvragée et un string assorti qui remontait sur le devant et lui dévoilait totalement les fesses (leçon n°7 : jeter le trouble dans son esprit). Le tout de couleur blanche, ce qui faisait ressortir sa peau bronzée. Elle me regardait avec un léger sourire qui feignait l’indifférence en me disant : « Je me suis mise à l’aise. » « Tu as eu raison ! » lui répondis-je la bouche sèche les yeux agrandis par les merveilles que je voyais. Tu vois ma sœur, je n’ai jamais réussi à résister à une femme en lingerie. Toi-même tu arrivais à m’exciter lorsque tu te baladais quasiment à poil devant moi. Lorsque tu étais ...
    ... totalement nue, tu me faisais beaucoup moins d’effet. Béatrice c’était pareil, dans les séances de pose, j’arrivais à me contrôler, lorsque je la voyais nue, j’appréciais son corps mais j’arrivais à ne pas bander. J’ai juste eu cette forte érection dont je t’ai parlé, et d’ailleurs elle n’est plus totalement nue à ce moment-là. Non, à poil je pouvais résister… Mais là en lingerie, et quelle lingerie, je bandais à mort. Elle dut le constater et me dit : « Tu pourrais en faire autant. » Je ne me le fis pas dire deux fois. Je quittai donc mon polo et mon futal et restai en caleçon. Ma queue dressée à l’intérieur, faisait une bosse qui ne pouvait pas échapper à la belle Béatrice dont le regard était rivé sous ma ceinture sans gêne ni vergogne. Elle rigola franchement en me disant : « Mais il doit être à l’étroit le petit bonhomme. » Elle prit le temps de boire une partie de sa boisson, puis se pencha vers moi, baissa mon dernier vêtement. Elle n’eut pas à extraire mon membre qui bondit tel un beau diable. Sans plus hésiter, mais avec une infinie douceur, elle le prit en main et commença à le branler, puis approcha la tête, apposa comme la dernière fois un bisou sur le gland, le lécha dans ses moindres recoins jusqu’au frein. Puis elle parcourut avec la langue toute ma tige, s’occupa de mes testicules qu’elle prit en main, qu’elle soupesa. Elle me regarda droit dans les yeux avant d’enfourner mon sexe dans la bouche. J’étais dans les nuages. Elle savait y faire et n’avait pas froid aux ...
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