1. La paire de menottes


    Datte: 22/09/2020, Catégories: fh, inconnu, voyage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, aventure, Auteur: Filou, Source: Revebebe

    ... m’entraînant avec les menottes. Je l’arrête en lui attrapant le bras.
    
    — C’est une bonne idée, mais vous ne pouvez pas vous baigner comme ça. Vos vêtements seront trempés et pleins de sel, pour marcher ce sera pire et très désagréable ! Avec cette humidité cela va mettre beaucoup de temps à sécher
    — Vous voulez que je me déshabille devant vous ?
    — Faites comme vous voulez, en tout cas moi, je me mets en caleçon et si vous persistez à vouloir vous baigner habillée, ne venez pas vous plaindre après.
    
    Je retire ma veste et ma chemise qui se retrouvent enroulés sur mon poignet et la chaîne, car bien sûr, c’est impossible de les enlever complètement. Elle me regarde en faisant la moue.
    
    — On tiendra nos habits avec nos bras levés, le temps de se rafraîchir
    
    Puis j’enlève mes chaussures et mon pantalon.
    
    — Alors vous vous décidez, ou quoi ?
    
    Elle hausse les épaules, retire la veste de son tailleur, son chemisier qu’elle enroule elle aussi sur son poignet, ouvre la fermeture de sa jupe qu’elle fait glisser par terre. Son corps est magnifique, son ventre plat et musclé, ses jambes longues et fuselées. Elle ne portait plus que sa parure, soutien-gorge et slip de couleur ivoire en dentelle. J’évite de la regarder, car elle risque de s’en apercevoir, elle semble déjà terriblement embarrassée. Nous avançons côte à côte dans l’eau en tenant mon bras gauche et son bras droit au-dessus de nos têtes, jusqu’à avoir de l’eau jusqu’à la taille. Le lagon est calme et il n’y a ...
    ... presque pas de vent.
    
    — On va s’accroupir pour se baigner complètement, on y va ensemble ! Un, deux, trois.
    — Ça fait du bien, c’est tellement agréable, me dit Clara. Approchons-nous du bord comme ça on pourra s’asseoir dans l’eau.
    
    Nous sommes assis tous les deux dans cinquante centimètres d’eau, on commence à fatiguer avec notre bras en l’air. Je la sens qui faiblit et je commence à porter le poids de son membre.
    
    — Ce n’est pas très commode comme ça ! Appuyez votre bras sur mon cou !
    — Merci, je n’en pouvais plus !
    
    Et nous voilà comme deux amoureux ! Enfin, je sens encore une certaine hostilité de sa part. Je regarde son soutien-gorge mouillé qui ne cache plus ses seins que je devine lourds et fermes. Ses aréoles sont légèrement plus sombres, des gouttes d’eau perlent sur sa peau. Sous l’eau, je sens sa jambe contre la mienne. Trêve de plaisanterie, il nous faut partir.
    
    — Il faut nous mettre en route vers le nord, puis nous obliquerons vers l’intérieur pour voir si nous trouvons une route ou une habitation. Je crois que nous sommes encore au Mexique, pas au Belize. La côte est déserte par ici. Il y a même une presqu’île, si je me souviens bien !
    — Vous ne pouvez pas trouver quelque chose pour casser cette chaîne !
    — Sans la clé et sans outil, c’est impossible. Je suis désolé, nous sommes enchaînés. Vous devriez me donner vos chaussures, je vais casser les talons, ainsi vous pourrez marcher avec.
    — Des chaussures à 250 euros, mais c’est une bonne idée, ce serait ...
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