Les mains chaudes
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
couleurs,
couplus,
extracon,
prost,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
init,
extraconj,
fbi,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... et le soleil, décontractée, disponible, regardant, sans vraiment les voir, les deux nageurs.
— Vous venez ? me demande Clara qui vient d’émerger si près que, de son visage ruisselant, tombent quelques gouttes d’eau sur mes jambes.
En réalité elle n’attend pas de réponse car elle place ses mains sur mes cuisses pendant que ses lèvres fraîches me surprennent au contact de mon minou.
Pendant que sa langue fait connaissance des lieux, elle m’invite à m’allonger tout en plaçant mes pieds sur la margelle de la piscine. Dans cette position mon intimité est largement offerte aux regards et à ses caresses. Ses lèvres et sa langue explorent mon sillon que j’ai eu la bonne idée de dégager de tout ce gazon disgracieux que la nature nous inflige. Ainsi, rien ne gène la progression de cette langue qui me lèche de haut en bas, s’attarde sur mon clito et le décalotte pour le sucer de ses lèvres.
Je retrouve toutes les sensations de mon adolescence où, entre amies, nous jouions à ce petit jeu, avant de vraiment tourner nos regards vers les garçons. Seule une femme peut deviner et devancer les attentes d’une autre. C’est bon de sentir ces petits frissons précurseurs du plaisir, de la jouissance. Sa langue écarte mes petites lèvres pour me pénétrer comme un petit sexe à la fois rigide et souple. Puis elle descend vers mon œillet qu’elle titille comme si elle voulait ouvrir cette porte, si peu de fois franchie par mon mari, mais largement pratiquée par ce salaud de John.
Tout ...
... s’accélère, un doigt maintenant me sodomise, un ou deux autres me baisent et j’entends le bruit humide de leurs va-et-vient dans mon sexe. Une langue caresse mon clito. Des mains caressent mes seins et une bouche gourmande suce mes tétons pendant que je jouis. Mais comment, bien sûr, c’est Thomas qui s’est joint à Clara pour me faire…
— Chéri, c’est bon, merci….
Et le plaisir arrive, fort, violent, titanesque. Je me cambre comme sous l’emprise d’une décharge électrique avant de m’effondrer, littéralement épuisée.
Mes deux amants me laissent reprendre mes esprits. C’est Clara qui parle la première.
— Et bien ma chérie, c’est ce qu’on appelle prendre son pied.
Lorsque le mari d’Ophélie m’a téléphoné pour me faire la proposition de passer quelques jours chez eux et qu’il m’a exposé ses souhaits, j’ai pensé refuser car je ne voulais pas me prêter à un jeu que sa femme ne souhaitait peut être pas. Plusieurs choses m’ont fait changer d’avis. D’abord il m’a affirmé qu’Ophélie écoutait notre conversation et qu’elle acceptait. Puis le dédommagement financier proposé et aussi le fait que je commençais à me barber, coincée entre ma sœur et son mari qui ne sont pas ce qu’on appelle des rigolos.
— Et bien ma chérie, c’est ce qu’on appelle prendre son pied, dis-je alors à Ophélie qui vient de jouir sous les caresses conjuguées de son mari et surtout des miennes, qui ont dû lui rappeler ses premiers émois de jeune fille.
Je continue :
— Regarde dans quel état nous avons ...