1. Les mains chaudes


    Datte: 22/09/2020, Catégories: ff, ffh, couleurs, couplus, extracon, prost, Oral 69, pénétratio, fsodo, échange, init, extraconj, fbi, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... que ses mains remontent vers ses fesses et les écartent. Son amant comprend. Il laisse tomber de la salive sur l’œillet, fait entrer un doigt, puis deux qu’il anime d’un mouvement de rotation.
    
    — Fuck me. Break my ass. Go, Go ! ordonne Ophélie.
    
    Clara et moi échangeons un regard de surprise. Même Stuart se demande s’il a bien compris.
    
    — Your Ass ? Are you sure ?
    — Yes. Go, Go, elle confirme, impatiente.
    
    Alors il prend son sexe et le dirige, plus haut sur la croupe. Je me rapproche encore pour mieux voir. Oui l’œillet est ouvert mais c’est sans commune mesure avec le gland qui approche. Stuart ajoute encore de la salive, appuie, appuie encore, pousse de ses reins et l’impossible arrive. Je suis si près que je vois le sphincter se dilater et céder le passage au gland pour aussitôt se refermer sur la base. Ophélie ne peut retenir un cri de douleur mais elle répète.
    
    — Allez, encule-moi, défonce-moi.
    
    Stuart comprend parfaitement, même si elle a parlé en français. Il pousse sans retenue et la hampe disparaît presque entièrement. Elle pousse des soupirs pendant qu’il commence son va-et-vient. Les chairs ont cédé, le chemin est moins étroit et ses couilles viennent buter contre le cul de ma femme. Plus de retenue, tous deux gémissent, crient, et cette queue qui la pilonne, maintenant entre et sort sans résistance. Ophélie se caresse et d’un cri aigu, interminable, jouit pendant que la queue l’abandonne pour venir cracher le sperme sur son dos.
    
    Alors, sans ...
    ... réfléchir, je pousse Stuart pour prendre sa place et d’un seul coup je sodomise ce trou béant, large et rond comme un abîme. Je la pistonne si fort qu’elle doit s’accrocher au matelas pour ne pas avancer sous mes coups. Cette violence, ce viol, semblent lui plaire car elle ne cesse de m’encourager.
    
    — Allez chéri, encule-moi. Bourre-moi fort. Casse le cul de ta petite femme. Tu me fais du bien. N’arrête pas.
    
    Elle ondule. Je roule les tétons de ses seins entre mes doigts pour lui faire mal. Je vais jouir. Je crache mon jus au fond de son cul. Je me retire. J’attends, je surveille. Oui, doucement, l’anneau se referme laissant suinter un peu de ma liqueur. Quelle merveille ! Quelle horreur !
    
    Une année s’est passée. Je frappe à la porte de la villa de mes amis que je n’ai pas revus depuis l’été dernier. Beaucoup de choses ont changé dans ma vie. J’ai rencontré un homme que j’aime et qui m’aime. Bien sûr, je ne vais plus chez Mathilde. Nous parlons d’avoir un enfant. On ouvre.
    
    — Ah, c’est toi ! dit Thomas en me voyant.
    — Je te dérange. Ophélie n’est pas là ?
    — Non, non, entre. Tu veux un café ?
    
    Installé dans le salon, il me narre tout ce qui s’est passé. Au retour à Paris, ils ont continué de vivre leur nouvelle sexualité chez Mathilde et ailleurs. Mais, petit à petit, Thomas s’est senti mal à l’aise avec la nouvelle attitude d’Ophélie, devenue extravertie, provocatrice et de plus en plus accro au sexe. Bien sûr, c’est lui qui a tout déclenché, mais il devient jaloux, ...