1. Ma tante Sonia me prend en main


    Datte: 21/09/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, oncletante, grosseins, hépilé, fépilée, vacances, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, init, Auteur: Ciciolino Bello, Source: Revebebe

    ... disait donc vrai, elle se faisait bronzer nue… Ses seins étaient gros, je dirais aujourd’hui un bon 95D, lourds, tombants légèrement, de belles aréoles brunes et de bons gros tétons épais qui donnent vraiment envie d’être tétés. Je les imaginais beaux, ils étaient magnifiques ! Le tissu continuait de rouler sur son ventre assez plat, voila qu’elle dévoilait maintenant ses hanches, elle me regardait et enfin le maillot tomba à terre, mes yeux étaient rivés sur son minou complètement lisse… J’étais tellement ému que mon sexe ne réagit même pas. Mon visage par contre, devait trahir mon émotion car elle me dit :
    
    — Hé ! petit idiot, tu n’as jamais vu une femme nue ou quoi ?
    
    Je dus lui avouer qu’en effet elle était la première que je voyais nue dans la même pièce que moi.
    
    — Pas la peine de demander de toute façon, dit-elle, ça se voit.
    
    Alors, c’est comme ça qu’elle me voyait, un petit puceau qui n’a comme expérience sexuelle que ses petites branlettes misérables… Comme j’avais honte.
    
    Elle me laissa debout, et s’assit sur un tabouret, regardant mon sexe qu’elle allait raser. Elle prit la mousse dans ses mains et commença à me l’étaler sur le pubis assez machinalement et énergiquement. Moi qui m’étais dit qu’il allait être difficile de ne pas être excité, je me sentais comme un objet qu’on entretient et auquel on attache peu d’importance. Elle se saisit du rasoir et tout aussi machinalement, elle me rasa le pubis méthodiquement. Je sentais à nouveau l’air sur cette ...
    ... partie de mon corps. Je me sentais aussi nu qu’un poulet que l’on vient de plumer. Elle me rinça avec un gant de toilette et pris un peu de recul pour me regarder et dit :
    
    — Bien ça commence à être acceptable… On va faire tes petites couilles maintenant.
    — Oh tu crois vraiment ?
    
    J’étais tout autant étonné qu’elle veuille continuer que par le mot qu’elle avait employé.
    
    — Bien sûr voyons, laisse-moi faire, tu ne vas pas garder cette barbichette.
    
    Je commençais à me demander si elle ne faisait pas exprès de me rendre ridicule.
    
    Cette fois-ci, son geste se fit beaucoup plus lent et délicat. Elle prit mes testicules dans sa main et sembla les soupeser, elle les fit même un peu rouler entre ses doigts comme je le fais lorsque je me masturbe. J’étais surpris, je soupirais imperceptiblement. J’avais comme l’impression que tous ces gestes étaient mesurés pour contrôler mon excitation. Je me remis à la regarder. Elle était là devant moi nue, à me raser, assise sur ce tabouret. Excitante, légèrement penchée en avant avec ses beaux seins qui pendaient un peu. Ça y est, je sentais l’excitation monter en moi. Elle sentait mon regard sur elle et je suis certain aujourd’hui que si elle écarta les cuisses doucement, c’était pour me laisser voir son abricot s’ouvrir un peu.
    
    Elle finit de me raser les boules et me dit :
    
    — Il reste un peu de poils sur ta pine.
    
    C’est alors qu’elle me regarda et prit mon sexe entre ses doigts, elle le souleva doucement et le plaqua contre mon ...
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