Le petit short noir (épisode 2)
Datte: 21/09/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
groscul,
fépilée,
gymnastiqu,
toilettes,
odeurs,
massage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
scato,
Humour
Auteur: Spartacus, Source: Revebebe
... qu’t’es rentré ! Encule-moi fort !
Cet encouragement fit tomber mes derniers remparts. Je la saisis par la nuque cette fois et me mis à la défoncer sans aucune retenue décidant d’ignorer ses halètements jusqu’à l’issue qui me conduirait au plaisir suprême. Cette fois encore, ma bite entrait et sortait de son petit trou dans une série de bruits obscènes. Mais à un moment, ma queue heurta sa fesse et rata l’entrée de son fondement. Je m’apprêtais à la saisir à pleine main pour la replanter dans son trou sacré, lorsque mon cœur se souleva. Ma queue était pleine d’excréments… Son trou du cul béant laissait échapper les mêmes salissures. Elle se demanda pourquoi je ne continuais pas à la baiser et lorsqu’elle tourna la tête, elle ne put retenir un cri de surprise.
— Han !
Puis elle s’affala sur le lit et éclata d’un rire libérateur. Je me mis à rire moi aussi et me collai contre elle pour l’embrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire, me rendit mon baiser passionné avant de se lever pour aller dans la salle de bains.
Lorsque nous nous fûmes nettoyés de nos ébats trop intimes, elle m’entraîna ...
... dans ma chambre et se colla contre moi, tendre et féline à la fois. Elle se mit à me parler d’elle, puis à me confier ses secrets de jeune femme, me livrant ses rêves enfouis au plus profond de son cœur. À mon tour, je fus interrogé sans retenue sur ma propre vie par des questions toujours simples et directes.
Elle me plaisait énormément, mais l’heure passait et il fut bientôt trois heures du matin. Nous grignotâmes un petit casse-croûte et nous couchâmes amoureusement dans les bras l’un de l’autre. J’allais fermer la lumière lorsqu’elle m’embrassa et me déclara en souriant :
— Au fait, t’as pas joui, toi… Ça t’fait rien ?
— Ben si…
— Attends, je vais résoudre ce petit problème. Tu m’as bien baisée ce soir ; tu mérites bien quelque chose…
Puis, comme la veille, je vis sa tête disparaître sous les couvertures avant de s’emparer de ma verge. Sa pipe fut une nouvelle fois formidable, mais courte, car je ne fis rien pour retenir mon éjaculation. De nouveau, elle avala tout, puis lorsque ma queue fut bien propre, elle revint se coller contre moi sans rien dire et me demanda de fermer la lumière.