1. Hector


    Datte: 19/04/2018, Catégories: fhhh, inconnu, sexshop, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, préservati, pénétratio, confession, couple+h, Auteur: Herve Chaumont, Source: Revebebe

    Je suis VRP résidant à Paris. Ginou, mon épouse, s’occupe de notre intérieur, de la gestion de la maison. Nous n’avons pas d’enfant, ce qui lui permet de m’accompagner dans mes tournées, de manière épisodique, quand viennent les beaux jours.
    
    Nous nous trouvons pour la semaine à Nancy, un hôtel, près de la gare, nous héberge. Ginou fait du shopping et du tourisme tandis que je vaque à mes occupations. Nous sommes convenus de nous retrouver, après ma journée de travail, place Stanislas, à la brasserie Jean Lamour.
    
    Je retrouve Ginou, assise en terrasse, sa robe aux motifs printaniers et au large décolleté offre aux regards une vue sur son opulente poitrine. Je la rejoins, remarquant le regard de coulisse de deux lycéens sur ce doux spectacle, ce qui, j’en suis sûr, ne lui a pas échappé.
    
    Je me penche vers elle pour lui donner un tendre bisou ; tout en prenant nos consommations, nous nous racontons notre journée. Ginou me dit qu’en se promenant elle a déniché, rue Jeanne d’Arc, un restaurant japonais, que si cela me convient nous pourrions y dîner.
    
    Bras dessus bras dessous, nous voilà partis pour une soirée sushi. Nous remontons la rue, nous arrivons à la hauteur d’un sex-shop, je souris et glisse à Ginou qu’elle a de curieux buts de promenade, en réponse elle émet un léger rire accompagné d’un clin d’œil.
    
    Le restaurant n’est qu’à quelques mètres. On nous installe, la commande est prise, nous discutons de choses et d’autres, quand Ginou me parle ...
    ... d’Hector.
    
    Ah, Hector, ce vieux complice fantasmagorique de nos ébats… et de nos conversations qui les précèdent ou les suivent.
    
    Comme je suis absent la semaine, et que Ginou m’a confié s’adonner à la masturbation de manière très régulière et assidue, elle a exprimé le souhait d’avoir à sa disposition un godemiché. J’aurais dû le lui ramener au retour d’une tournée, je ne l’ai pas fait, mais Ginou avait baptisé du nom d’Hector cet objet tant désiré que nous évoquions quasi systématiquement dans nos relations amoureuses. Parfois, nous évoquions Hector devant des amis, des relations qui, ignorant de qui il s’agissait, ne mesuraient pas le piment de nos propos, ce qui nous a valu quelques fous rires.
    
    Nous en sommes au café.
    
    — Si je te comprends bien ma Ginou, tu m’as amené dans ce quartier spécialement pour qu’en quittant cet agréable restaurant, nous allions en face à la rencontre d’Hector ?
    
    En réponse Ginou me prend la main, esquisse un large sourire avant de murmurer un « oui » presque timide.
    
    La nuit est tombée, nous faisons face à la porte d’entrée du sex-shop ; avant qu’elle ne la pousse, je lui dis :
    
    — C’est toi qui le choisis, ça on est d’accord, mais c’est aussi toi qui le demandes…
    
    Nous rions.
    
    Ginou pousse la porte, je l’imagine un peu anxieuse, confuse et troublée ; face à nous à la caisse, un homme à la cinquantaine passée, au front dégarni. Ses yeux bleus nous fixent tour à tour avant qu’il ne se foule d’un « m’sieur dame », d’un ton qui se veut ...
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