1. LE FANTASME DE SAYOMI


    Datte: 20/09/2020, Catégories: A dormir debout, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... ravagée.
    
    Après un moment de calme destiné à laisser la petite chatte s'habituer à sa présence, l'organe surdimensionné et obscène commença ses va-et-vient, lentement, profondément, puis de plus en plus vite.
    
    Le tentacule enfoui dans son cul s'est dégorgé puis s'est retiré, pour être immédiatement remplacé par un autre.
    
    Sayomi sentait sa chatte, son cul, sa bouche, évacuer la semence du Kraken, visqueuse et épaisse, en s'écoulant de ses orifices.
    
    Elle a de nouveau été empalée dans ses trois orifices par trois organes sexuels épais, visqueux et énergiques.
    
    Sayomi se tordait, aux prises avec une délire d'extrême excitation sexuelle, son jeune corps exultait dans ce coït interminable.
    
    De nouveau, Sayomi a été soulevée et retournée, impuissante dans les bras de la créature. Son corps meurtri était manipulé et baisé.
    
    Sa vision était obstruée par la forêt de tentacules qui la forniquaient.
    
    Lorsqu’un organe éjaculait puissamment en elle, il se retirait et un autre prenait immédiatement sa ...
    ... place.
    
    Tout son corps luisait de bave et de foutre mélangé dans la faible lueur verdâtre. La chatte ravagée, le trou du cul endolori, la mâchoire distendue, Sayomi était violée encore et encore par l'ignoble Kraken, et elle adorait cela.
    
    Dolente, Sayomi était comme une poupée de chiffon dans les bras tentaculaires de la créature, maintenue fermement, tandis que la bête usait et abusait de sa chatte, de son cul, et de sa bouche.
    
    Sayomi tremblante, ruisselante, geignante et gémissante fut pénétrée encore et encore, sans pouvoir réagir.
    
    Des organes dilatés se faufilaient, la pilonnaient, la matraquaient pour décharger leurs spermes gluants et épais.
    
    Sayomi était perdue dans un monde de plaisir informe, au centre d'une mer de tentacules plongeants et éjaculant.
    
    Sa raison s'amenuisait, ses souvenirs s'estompaient, seule subsistait cette image d'une femme violée par une créature de l'enfer.
    
    Dans l'obscurité verdâtre au fond de la caverne, quelque chose se tord, quelque chose se cambre, quelque chose baise ... 
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