1. Ça c'est passé simplement 16


    Datte: 20/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Macerou, Source: Hds

    ... cambra violemment en poussant un râle de satisfaction et en bloquant la main d’Evelyne entre ses cuisses fermées. Puis elle se détendit et prenant la main d’Evelyne, elle la porta à sa bouche pour sucer les doigts qui l’avaient pénétrés, enfin elle se pencha et embrassa Evelyne.
    
    Evelyne lui dit : « Va dont voir ou est Jean »
    
    Anaïs : » C’est vrai, je l’avais oublié celui-là » et elle se leva. Je profitais de ces quelques secondes pour me rendre dans la salle de séjour, j’étais un peu gêné d’être pris à jouer les voyeurs
    
    Evelyne : « Jean est là ?»
    
    Anaïs : « Oui il est là, … »
    
    Evelyne: « Dis lui de venir, enfin venez tous les deux »
    
    Evelyne « Ca fait longtemps que tu es là, … je suppose que tu t’es rincé l’œil, … alors, viens avec nous, … qu’on profite de toi ... »
    
    Je dois dire que je ne savais pas très bien ce que je devais faire, quand Evelyne insista en disant :
    
    « Chez lui c’est une habitude, il est toujours habillé quand je suis nue, … déshabilles toi. Anaïs peut t’aider, … il doit être timide, … »
    
    Sans l’aide de personne, il ne me fallu peu de temps pour me trouver dans le plus simple appareil, quand Evelyne dit : « Anaïs, tu pourrais l’embrasser pour lui montrer qu’il est le bienvenue. Il t’est arrivé de dire, quelques fois, qu’un homme aurait pu compléter nos, ... nos ébats amoureux. Profites en, je le connais, je l’ai bien « pratiqué » dans le temps. Montres nous ce que tu es capable de faire »
    
    Il y eut un petit moment de flottement où ...
    ... Anaïs, regardait Evelyne puis moi, puis Evelyne, puis semblant se décider, avec dans l’œil, il m’apparu, un certain défi, elle mit ses bras autour de mon cou en me tendant ses lèvres charnues et bien ourlées pour enfin se coller contre moi. Ses lèvres s’ouvrirent légèrement pour laisser passer une langue curieuse et qui rapidement vint caresser ma langue. Son baiser me parut légèrement agressif, mais ses hanches, contre moi étaient suggestives et commencèrent à entrainer certains réflexes sur mon anatomie. Puis me regardant droit dans les yeux, elle laissa descendre le long de mon corps, pour arriver au niveau de « popol » qui avait repris vie et se dresser fièrement. Sans hésiter elle me prit en bouche et commença à me pomper doucement, sa langue parcourant lentement le gland. C’était efficace, mais c’était fait avec douceur et subtilité, et faisait son effet. C’est Evelyne qui réagit : « Arrêtes, tu vas l’user, … laisses en un peu pour les autres … » Anaïs se redressa et se collant de nouveau contre moi, me gratifia d’un léger baiser sur les lèvres, et elle me poussa vers le lit où, visiblement, Evelyne m’attendait.
    
    Evelyne m’attira à elle et me fait basculer sur le lit. Et sans autre préambule, elle s’intéressa à ma bite qui se dressait et après quelques coups de langue me prit en bouche, comme elle dit : « Juste pour te gouter, … et voir si tu es praticable, … » et sans autre préambule elle m’enjamba et s’empala sur mon sexe avec un soupir de satisfaction. Pendant qu’elle ...