1. histoire 3: Gérard grâce à Benoit


    Datte: 20/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: patriciab, Source: xHamster

    ... dessert, café, addition. Les glaçons ont fondu. Le mouchoir est comme une serpillère après une pluie d’orage, le parfum en plus.
    
    On quitte le restaurant. J’ai gardé la veste sur l’épaule. G sait maintenant que le bas est accessible aussi. J’ai descendu les tirettes à moitié. Quasi décente, quoique.
    
    Dans la voiture, je m’attaque à sa braguette. Je lui sors l’outil en lui disant de rouler. À Walhain, il sort de l’autoroute. J’ai son truc en main, raide comme une barre à mine. Il n’en peut plus. Avant d’arriver chez lui, je lui dis de s’arrêter dans le parking du château d’eau le long de la chaussée. Je me penche et l’achève entre mes lèvres. J’avale toujours. Il n’est pas resté inactif pendant ce temps : mon chemisier est ouvert, ma jupe sur les reins.
    
    On arrive chez lui. Comme il faut faire quelques mètres je cache l’essentiel.
    
    Rentrés, il me saute dessus. Là, ça devient classique, quoique…
    
    Il me demande si j’ai vu 50 nuances de Grey. Il m’emmène dans sa chambre et m’attache sur le lit, aux quatre coins, très tendue. Il a trouvé le matériel sans chercher c’est donc une habitude. À suivre…
    
    Il me bande les yeux et me met un casque audio sur les oreilles. J’entends le chant des baleines à plein tube. Hors du monde.
    
    Clac, un coup de martinet, manifestement en cordes, sur les seins. C’est pas cinglant, ça brule par frottement. Un coup sur le sexe, une cuillère en bois (je l’ai su plus tard). Il laisse plusieurs secondes entre chaque coup mais n’arrête pas. C’est d’abord supportable puis les élancements deviennent atroces. Le clito tuméfié encaisse. La douleur a commencé à irradier et j’ai senti que l’orgasme impossible allait arriver.
    
    Au moment où le monde a basculé il m’a pénétrée.
    
    Une éternité de plaisir, de vague en vague. J’en ai pleuré.
    
    Je suis restée avec lui jusqu’au matin. Il m’a ramenée à la maison pour que je me change.
    
    Je l’aime. Depuis, chaque jour, j’attends de le voir, de le sentir.
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