1. Réveillon


    Datte: 20/09/2020, Catégories: fhh, couple, extraoffre, cocus, inconnu, fête, rasage, Oral Auteur: FloreanMC, Source: Revebebe

    ... fourrageait mon chaton. J’avais fermé les yeux et simplement accueilli la lame de plaisir qui me transperçait alors de part en part.
    
    —ooOoo—
    
    Les deux hommes avaient bientôt échangé leur position ; je m’étais placée à califourchon sur Terence et avais découvert la sensation d’un sexe massif dans mon petit chaton fragile. Pendant qu’il m’avait baisée, j’avais sucé Marc goulûment, à demi-nue dans la lumière crue de l’halogène.
    
    —ooOoo—
    
    C’est moi qui avais demandé à ce que nous continuions dans la chambre.
    
    Pour temporiser un peu, d’une part, et pour éviter de tacher le canapé, d’autre part.
    
    Je les avais guidés en les tenant chacun par la bite et en les branlant tout du long.
    
    Je m’étais allongée sur le lit, les jambes écartées. Terence s’était placé au-dessus de moi, avait trempé sa queue dans mon chaton ruisselant et ouvert, mais je l’avais repoussé.
    
    — Voyons si tu sais te servir de ta bouche aussi bien que de ta queue…
    
    C’était bien le cas.
    
    Il n’avait pas seulement un long sexe, mais aussi une longue langue, agile, et avait manifestement quelque expérience de l’anatomie féminine.
    
    Pendant que Marc m’embrassait sur la bouche en me caressant les seins, j’avais joui ; une première fois, ce soir.
    
    Puis, pendant que Terence m’enfonçait sa queue dans la gorge, Marc l’avait remplacé entre mes cuisses. Ses doigts et sa langue en action avaient su me faire partir une seconde fois.
    
    —ooOoo—
    
    Epuisée, en sueur, des papillons dans le ventre et dans le ...
    ... corps, je leur avais alors donné quartier libre.
    
    — Je veux vous voir jouir.
    
    —ooOoo—
    
    — Penche-toi encore un peu…
    
    Je me plaque contre Terence. Sa queue écartèle le tissu soyeux de mon chaton ; je n’ai jamais englouti si gros, et je n’ai connu quasiment que Marc, qui a un sexe bien plus modeste.
    
    Nos bouches se trouvent, nos langues se mêlent, ses mains glissent jusqu’à mes fesses et les écartent.
    
    Mon mari enduit alors mon petit trou coquin de vaseline et me prend bientôt par derrière, lentement, mais chaque fois un peu plus loin. Je relève la tête, les yeux fermés ; je cesse de respirer en sentant le gland se faire happer par ma pastille souple, déclenchant des éclairs de plaisir mêlés d’une douleur diffuse, mais supportable.
    
    — Ah… ahhh…
    
    La queue de Marc creuse son sillon, pénètre plus avant ; je le sens se tendre en moi, forcer un peu. Les deux hommes sont lovés au creux de mes chairs distendues ; l’euphorie prend le pas sur la douleur, le désir sur la morale. Je me relâche et en demande plus, plus fort, plus vite, plus loin.
    
    — Oh… oh… encore…
    
    Les deux hommes alternent leur cadence, se calent. L’un va, l’autre vient ; l’un entre, l’autre sort ; l’un me baise, l’autre me sodomise. Les deux gémissent, râlent et soufflent. Je pars, pour la troisième fois, dans un orgasme non maîtrisé, primal. Mes cris de délice font plier mes amants : Terence se cabre soudain et déverse en moi sa semence brûlante, ses spasmes. Marc ne tarde pas à l’imiter : il sort sa ...
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