1. Les routiers sont sympas (1)


    Datte: 20/09/2020, Catégories: Hétéro Auteur: petikokin, Source: Xstory

    ... qu’elle reprenne une respiration normale.
    
    « Alors, c’était bon ?
    
    Oui ! Je crois que je n’ai jamais autant jouï de ma vie... Jamais un homme n’avais mis sa langue aussi profond que toi... J’en suis encore toute retournée...
    
    Ce n’est qu’un début... Un peu comme un amuse bouche... »
    
    Etant en bas le la couchette, les dimensions le la cabine étant assez réduites, c’est courbé que je monte et mets un genou le chaque coté du buste le ma partenaire. Cette position me permet d’avoir mon sexe, raide bandé, au-dessus le ses lèvres.
    
    « Si tu veux, tu peux l’embrasser, le sucer...
    
    Mon Dieu ! Quel engin ! Jamais je pourrai...
    
    Essaye... »
    
    Elle embrasse mon gland, le prend entre ses lèvres, sa langue le lèche en y faisant le tour... je passe mes mains sous sa tête et, doucement, la soulève tout en avançant mes hanche. Raymonde ouvre toute grande sa bouche, mon pieu le chair glisse lentement dans cette antre chaude et humide. Arrivé presqu’au fond, elle place ses mains sur mes cuisses et me pousse en arrière. Je me recule jusqu’à la limite le ses lèvres
    
    « Tu veux que je sorte ? Tu veux que je continue ?... »
    
    Ne pouvant parler, c’est d’un hochement le la tête qu’elle m’invite à continuer. Je reprends mes vas et viens en faisant attention de pas « buter » au fond de sa gorge. Sentant l’éjaculation proche, je me retire et recule jusqu’à ce que mon sexe se trouve à l’entrée le son puits d’amour.
    
    Doucement je fléchis des cuisses. Je sens mon gland qui vient en ...
    ... contact avec ses lèvres intime. Passant une main, avec les doigts j’ouvre et entre dans cette caverne accueillante. A l’intérieur, l’abondance le cyprine et « l’élasticité » des chair me permettent de la pénétrer en douceur, sans souffrance...
    
    Raymonde, sourire aux lèvres, yeux mi clots, regard « dans le vide » savoure son plaisir. De quelques petits coups le reins, elle m’invite à aller jusqu’au fond. Arrivé à cette étape ultime, je commence mes vas et viens cadancés.
    
    Très vite, Raymonde à le souffle court qui s’accélère. Elle rythme le mouvement le son bassin de telle façon que mon sexe frotte son clitoris à chaque entrée et sortie. Je sens mon pénis gonfrer encore plus. L’abondance de « mouille » facilite le glissement. Les râles du plaisir qui roulent au fond de sa gorge, montent « cressendo » jusqu’aux hurlements de l’explosion finale. Elle se cambre, tout son corps se raidit, tremble comme s’il recevait des décharges électriques. C’est l’orgasme ! Je ne peux me retenir d’avantage. Bien enfoncé, je décharge toute ma « purée » en longues giclées brulantes. Sa jouissance se prolonge jusqu’à ce qu’elle « tombe » inanimée sur la couchette. C’est la « petite mort » si chère à Ambroise Paré.
    
    Cette « chute » m’a « débrabché ». Je me retrouve à genoux entre ses jambes. Sa vulve, encore ouverte, dégoulinate de cyprine et de sperme... Quand elle revient à elle, d’un coup de langue, je ramasse un maximum de ce mélange et colle ma bouche à la sienne pour lui faire connaître le ...
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