1. Fanfan, Miss infirmière (3)


    Datte: 20/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Phantome, Source: Xstory

    ... possible.
    
    L’autre interne s’approche et lui présente sa queue devant sa bouche. Fanfan l’avale entièrement avant de la sucer le mieux qu’elle peut.
    
    Puis, sans un mot, l’interne retire sa bite de sa bouche, passe derrière elle, pousse son dos vers l’avant, dirige son gland vers son anus défoncé, et il l’encule bien à fond, sans grande résistance du rectum bien rodé par Michel et Roland.
    
    Il l’encule aussi fort qu’il peut allant même à pousser son collègue en dessous planté dans sa chatte, quand il claque son pubis sur ses grosses fesses.
    
    Fanfan gémit de plus en plus, les yeux fermés, jouissant des deux queues qu’elle sent merveilleusement dans ses deux trous séparés par une fine cloison. Elle a de multiples orgasmes et s’écroule sur le sol lorsque les internes la libèrent après avoir vidé leurs couilles dans le vagin et les entrailles de Fanfan.
    
    Michel délie ses mains et lui dit.
    
    — On passerait bien toute la nuit à te baiser pour te satisfaire mais si tu veux faire ton boulot, il faut qu’on te laisse. Mais crois-moi, des salopes comme toi on a rarement l’occasion de tomber dessus ! S’il ...
    ... y a une élection privée de « Miss salope » on vote pour toi ! Viens nous voir demain si tu as récupéré et si tu es en manque.
    
    Tout ce beau monde de pervers quitte la chambre en rigolant et Fanfan se rhabille comme elle peut sans ses sous-vêtements en lambeaux. Elle va dans la salle des infirmières et tombe sur Clémentine qui la prend par le bras et l’entraîne dans la salle de bain attenante.
    
    — Mon Dieu, Fanfan ! Dans quel état tu es !
    
    — Ils m’ont violée ! Tu n’as rien entendu ?
    
    — Si... je suis même allée voir.
    
    — Pourquoi tu ne m’as pas aidé ?
    
    — Ben... j’ai vu qu’un de ses pervers te sodomisait et que tu priais Michel de te fourrer son monstre dans ta chatte. Je n’ai vraiment pas eu l’impression qu’ils te violaient.
    
    — C’était tout comme !
    
    — Tu as réussi à les prendre tous ?
    
    Fanfan se contente d’acquiescer, la tête basse, et avoue à sa collègue.
    
    — À chaque fois que je peux toucher une bite, je ne suis plus moi-même... j’ai envie de jouir avec un sexe en moi. Mais cette nuit j’ai eu plusieurs orgasmes et ils ont eu raison de me traiter de salope et de sac à foutre !
    
    A suivre 
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