1. J'ai cocufié mon mari le jour de notre mariag


    Datte: 19/09/2020, Catégories: Anal Hardcore, Première fois Auteur: nadiatvx, Source: xHamster

    Je me prénomme Nadia, de nationalité marocaine, j’ai 28 ans, je vis depuis 10 ans avec Karim qui est mon mari aujourd’hui. C’est lui qui m’a initié au sexe à l’âge de 18 ans, je lui dois tout et je l’aime bien sûr, mais côté sexe, justement je ne suis pas très branchée. En fait, j’accomplis plus pour son plaisir que pour le mien.
    
    D’ailleurs, je sais qu’il a déjà, en parlant de moi, fait la réflexion suivante : elle n’aime pas trop, pour preuve elle mouille à peine...sans compter qu’en plus lui qui, comme tous les hommes ou presque, adore les sous-vêtements suggestifs. Il n’a pas de chance, je suis très sage.
    
    Ceci dit, j’ai fait un effort pour ce jour en achetant un ensemble string et soutif en dentelle blanche, plus des bas blancs auto-fixant. C’est vrai aussi que le jour du mariage, la mariée est la plus belle et sans être prétentieuse, je ne suis pas mal ; pour preuve, j’assiste souvent à des enregistrements d’émission télé et chaque fois, on me place au premier rang des spectateurs. Je suis une brunette d’un mètre soixante-cinq, des cheveux mi- longs, le corps d’une femme de 28 ans qui n’a pas encore subi le poids des années.
    
    Revenons à ce jour préparé depuis un an, deux cents convives au repas. Je passe sur la messe, le thé d’honneur en tant que héros du jour (et le vin aussi mais en cachette), nous ne voyons et profitons de rien puis commence la soirée qui a modifié ma vie, sexuelle du moins.
    
    En effet, les invités apprécient pleinement le repas et comme ...
    ... toujours en pareil cas, les mariés vont de tables en tables voir si tout se passe pour le mieux. C’est ainsi qu’arrivant à la table de mes beaux-parents, mon regard croise celui de cet homme, un ami de mon beau-père, la cinquantaine, poivre et sel, bel homme, sûr de lui et de son charme. Je tombe en arrêt, je bégaie pour demander si tout va bien, mon trouble doit être perceptible ou du moins je le crois. Je quitte la table et retourne à la mienne mais mes sens sont bouleversés. Je m’assoie près de mon mari et lui fais un bisou en regardant vers cet homme pour lui faire comprendre que mon homme, il est là.
    
    Durant tout le reste du repas, je ne cesse de croiser son regard, puis vient l’ouverture de la danse par les mariés ; chacun de notre côté, nous allons chercher un convive à commencer par mon beau-père pour moi et ma mère pour Karim mon mari. Le suivant que je vais chercher n’est autre que cet homme, à ce moment-là, j’ignore son prénom. Nous tournons sur cet air de danse populaire et avant de le quitter pour prendre une autre personne, il me chuchote à l’oreille : « alors jeune fille, je te trouble ? Je suis certain que tu as envie de moi ! Tout à l’heure, tu me rejoindras près de la réception, c’est compris ? ». Et je lui réponds : « Oui Monsieur ».
    
    Sur cette parole, il s’éloigne et va rejoindre son épouse. Inutile de vous dire que j’ai les jambes en coton, j’invite une autre personne puis encore une autre mais mon esprit est près de cet homme, je sens mon « tabboune » ...
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