Jamais la thermochimie n'avait été si passionnante (1) - Histoires de Sexe

Jamais la thermochimie n'avait été si passionnante (1)

6h, le réveil sonna. Dana se leva pour l’éteindre, c’est dur le matin... Puis elle se souvint qu’on était jeudi et que cet après midi elle avait cours de thermochimie avec Germain Tuvel, alors elle se dirigea avec un enthousiasme soudain vers la salle de bain pour se réveiller avec une bonne douche et quelque plaisir avant de choisir ses vêtements pour la journée, elle enfila un petit string noir, des collants, un pull et une jupe et c’est ainsi qu’elle se rendit à la fac.

Les cours de la matinée passèrent lentement, elle adore la biologie mais parfois les matières lui semblent trop abstraites et trop éloignées de ce qui l’intéresse, ce qui est plutôt normal en début de cursus, c’est toujours trop général. Pendant la pause du midi elle se rendit aux toilettes afin de remettre de l’ordre dans ses cheveux et s’assurer que ses vêtements étaient parfaitement en place, c’est enfin l’heure de se rendre au cours de thermochimie. Comme tous les jeudis elle arriva en avance dans l’amphithéâtre, se mit pas trop loin de là où se tient le prof mais assez pour qu’il puisse tout de même avoir ses jambes gainées de ses collants fins dans son champ de vision et bien en face de lui.

L’amphi se remplit petit à petit, Marie, sa binôme vint à côté d’elle comme prévu et le prof entra. À chaque fois Dana ressent une profonde joie de le voir et un sourire se dessine immédiatement sur ses lèvres, c’était le moment de recommencer ce petit jeu qu’elle avait commencé depuis le début d’année qui ...

... consistait à se faire remarquer par le professeur ce qui n’est pas facile puisque d’une part, les cours sont plutôt difficiles, ils requièrent donc beaucoup d’attention et de prise de note et d’autre part, parce que Dana est très timide.

En début d’année elle se contentait de faire un peu plus d’effort sur ses vêtements que d’habitude, d’essayer de le regarder mais dès qu’il croisait son regard, le sien fuyait rapidement pour se poser sur le diaporama ou sur ses notes. Petit à petit elle améliorait ses tenues, de plus en plus décolletées ou moulantes sans être vulgaires, et entre deux prises de notes, arrivait à soutenir le regard de son professeur quelques centièmes de secondes. Elle se lança dans d’autres moyens de provocation plus ou moins clichés comme mordiller ou sucer innocemment un stylo jusqu’à ce que le regard du Pr. Tuvel tombe sur elle, elle arrêtait alors, rougissante comme une petite fille qu’on surprendrait en train de faire une bêtise, et s’il la regardait toujours, lui lançait un petit sourire coquin ou se mordait les lèvres le tout en s’assurant que Marie ne remarque rien.

Elle constata que le nombre et la durée des regards qu’il posait sur elle augmentaient au fur et à mesure qu’on avançait dans l’année et qu’elle le provoquait, mais elle avait terriblement de mal à passer au niveau supérieur bien qu’elle en mourait d’envie à en juger par l’état de sa culotte à chaque fin de cours de thermochimie. Un dimanche, alors qu’elle était en train de préparer ...