1. Venise en cadeau défendu


    Datte: 19/09/2020, Catégories: fh, cadeau, fépilée, vacances, hotel, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, yeuxbandés, init, amourpass, Auteur: Titoeuf, Source: Revebebe

    ... deviné. :
    
    Je la trouve très belle, ma déesse, mais pourquoi n’es-tu pas avec moi, pour partager ce moment ? Oui, je comprends, bien sûr, ce moment ne peut être partagé, il ne peut être goûté que dans la solitude, égoïstement, et cela tu l’as compris et me l’as offert. Tu n’as pas ta pareille ma Julie.
    
    Je m’empresse de lui répondre que oui, que je trouve la ville merveilleuse, mais je m’abstiens de lui reprocher la distance qui nous sépare encore pour lui demander innocemment ce qu’elle fait.
    
    Que peut-elle bien faire ? Il me reste une heure encore à déambuler le long des canaux, à flâner sur les ponts de pierre qui les traversent. Je ne suis pas contrarié, loin de là, je suis heureux de la chance qui m’est donnée de vivre ce moment si unique. Le sourire aux lèvres, marchant au hasard, je crois que je me suis perdu.
    
    L’heure approche. Bien sûr, j’ai repéré l’entrée et je passe bientôt la porte de l’hôtel, le gardien m’indique le chemin de l’ascenseur.
    
    J’ai le cœur qui bat à tout rompre, peut-être même qu’un léger voile de transpiration me colle la chemise à la peau. Je suis complètement troublé, presque hagard, comme enivré.
    
    L’étage semble vide. Je me dirige à pas de velours vers la chambre entrouverte, je veux dans une certaine mesure la surprendre également. Sans un bruit je suis arrivé devant la porte entrebâillée. Un premier regard dans l’ouverture ne me laisse rien voir que les rideaux fermés et l’ambiance tamisée qui règne dans la chambre. Elle a posé ...
    ... quelques bougies çà et là, un agréable parfum se répand et j’entends une douce musique, je reconnais le son de la mandoline. J’inspire en silence, je goûte l’instant.
    
    Délicatement je pousse la porte et me glisse à l’intérieur, par chance, elle ne grince pas. M’a-t-elle entendu ? Il me plait de penser que non.
    
    Je la découvre enfin. Quel ravissement, elle est nonchalamment allongée sur le vaste lit de la chambre, elle est nue sous un voile de tulle qui la recouvre presque entièrement, la douce lumière des bougies galbe et habille sa silhouette. J’ai le souffle coupé par tant de grâce. Sa beauté est tellement naturelle, sans artifice, pure. La blancheur du voile renforce cette impression. Son visage, le croirez-vous, est masqué, un de ces magnifiques masques qui alimentaient mes fantasmes. L’ensemble est saisissant, oserai-je seulement la toucher ? Dans l’instant, je la contemple, pourvu que cet instant dure toujours.
    
    En silence toujours, j’ôte mes vêtements, ils m’oppressent. Bientôt nu, je m’approche d’elle, je ne veux pas rompre le charme… Aussi, à genoux à ses côtés, longuement, sans empressement, je détaille les lignes de sa silhouette, le galbe de ses formes. Puis, je tire à moi le voile transparent, lentement, très lentement. Je me délecte de la caresse que lui offre le déplacement du tulle.
    
    Elle est sur le dos, toujours immobile, une jambe légèrement pliée sur le côté. Mon regard fixe la pointe de ses seins, bientôt ils se durcissent sous le sensuel effet du ...
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