Séquestration 2
Datte: 18/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Auteur: AlbanPrey, Source: xHamster
... sur le moyeu de la manivelle et il entendit un clic.
« Je viens de déverrouiller le frein du treuil. Maintenant, tu ne tiens plus en l’air que par un équilibre instable. Evite de bouger ou de t’agiter car tout mouvement te fera descendre. Tu ne voudrais pas finir noyé ?... Ne crie pas, ne te manifeste pas car je vais laisser la porte de la grange ouverte. Si des fauves rodent dans les parages, mieux vaudrait pour toi qu’ils ne sentent pas ta présence. Pareil, ne bouge pas si tu te sens descendre par la trappe, si des choses te frôlent ou grouillent sur toi. »
Elle revient vers lui avec le sourire et l’agrippa par le pénis afin de lui infliger un lent mouvement de rotation avec la corde. Elle provoqua aussi un mouvement de balancier aux poids de ses testicules.
« Tu peux bander maintenant, cela ne dérangera personne. Et ce sera peut-être la dernière fois ».
« Tu vas être filmé aussi, la grange est équipée de caméras qui filment dans l’obscurité. Ta souffrance est le plaisir des propriétaires et ils ne veulent pas en perdre une miette quoi qu’il t’arrive. C’est pourquoi ils veulent enregistrer ce qui sera peut-être tes derniers moments ».
Puis elle quitta la grange et le laissa seul alors que le crépuscule finissait et que l’obscurité l’enveloppait, rendant d’autant plus effrayants les bruits de la nuit et du fleuve qui coulait.
Chapitre 9 : la nuit
La nuit s’annonçait horrible pour lui, il ne sentait déjà plus son corps qui lui semblait être une immense ...
... douleur. La douleur et la terreur mêlées étaient insupportables alors que tout était encore à venir.
Alban entendait des bruits venir de la brousse, parfois lointains mais le plus souvent proches de la grange, des grognements, des mugissements, des ricanements de hyènes, des hululements bizarres. Des rugissements particulièrement proches l’avaient terrorisé car il craignait de voir des lions entrer dans la grange. Il était tellement pétrifié qu’en sursautant il avait involontairement fait dérouler a corde du treuil qui s’était déroulée de plusieurs centimètres avant de se bloquer de nouveau. Il était maintenant enfoncé dans la trappe jusqu’aux genoux. Il tentait de se tenir aussi immobile que possible. Surtout ne plus bouger pour que la corde ne se déroule pas plus. Ne faire aucun bruit pour ne pas être détecté des fauves. Son corps lui faisait mal, ses poignets, ses chevilles, ces pinces qui le déchiraient, cet étirement qui devenait de plus en plus insupportable. Il perdit brièvement connaissance. Quand il reprit conscience, les rugissements s’étaient éloignés.
Il écoutait le bruit du cours d’eau qui coulait sous ses pieds, et il entendait parfois des éclaboussures provoquées par quelque chose de lourd, des crocodiles qui se battaient sans doute. Des bruits venaient aussi du plancher, un mélange de grouillements de pattes et de petits cris, des piaillements, des sifflets. Il avait peur. Un moment, il sentit que quelque chose lui effleurait la jambe ce qui le fit crier ...