1. La Gestionnaire (30)


    Datte: 17/09/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... toi, ne cherchant que leurs plaisirs dans tes trous certainement très irrités par les nombreux assauts que tu viens de subir ou peut-être de susciter. Tu es baisée, pilonnée, remplie pendant de longues minutes.
    
    Ta satisfaction est évidente. Ton plaisir est palpable. Tu cries des grossièretés et des insanités :
    
    — Oui ! Allez-y mes salauds, profitez-en, j’aime ça !... Oui, allez-y à fond, encore, fourrez-moi bien à fond !! Encore ! Encore !!! Oui c’est bon !
    
    Ils recommencent leurs coups de boutoir, t’empalant à fond à chaque aller. Leurs mains malaxent tes fesses et tes seins, tu es complètement à leur merci, docile, consentante. Tu ouvres la bouche pour parler mais aucun son ne sort. La jouissance s’approche et te rend muette. Tu te cambres. Tu jouis. Tout ton corps jouit. Tu es parcourue de frissons de mouvements désordonnés. Tu prononces des propos graveleux :
    
    — Crachez votre sperme dans mon ventre ! Videz-vous !! Remplissez-moi de votre foutre...
    
    Excités par tes propos, ils ne se retiennent plus. Les deux hommes éclatent en même temps dans mon ventre. Ils poussent leurs sexes au fond de toi. Tu es soulevée du lit. Tu es comme un poulet à la broche, empalée sur les deux bites. Ils crachent tout leur foutre en puissantes giclées, arrosant et polluant généreusement le fond de ton sexe. Tu jouis, comme une folle, le corps tétanisé sous le plaisir. Ton ventre est traversé de longues crispations. Ils te déposent sur le lit. Tu es allongée, hirsute, usée, vidée, ...
    ... épuisée. Tu bascules sur le côté, les cuisses largement écartées. Tes trous ruissellent de leurs spermes et de ta mouille mélangés. Tu es béate. Tu es heureuse d’être passée entre les mains ou plutôt les queues de ces quatre hommes. Cela environ deux heures que tu te fais baiser. Ton corps porte les stigmates de tes turpitudes. Ton visage, tes seins, ton ventre, ton sexe, ton anus sont marbrés de sperme séché. Tu ouvres les yeux et regardes les hommes autour de toi se rhabiller. Le chef de l’équipe t’adresse la parole :
    
    — Tu aimes nos queues noires, petite salope de blanche ?
    
    Dans un état semi-comateux de béatitude tu réponds :
    
    — Oui, elles sont bonnes !
    
    Tu t’installes en chien de fusil et places ta main entre tes cuisses comme pour te protéger d’une éventuelle intromission. Il faut dire que ton ventre doit être douloureux d’avoir été baisée, dilatée par quatre phallus d’une taille beaucoup plus grande que la moyenne. Tu t’endors, les seins meurtris et rougis d’avoir été trop pétris, le vagin et le cul en feu, mais heureuse et comblée de t’être conduite comme une vraie pute.
    
    Les hommes repartent. Je rentre et nettoie tes frasques. Je prépare le repas.
    
    C’est vers seize heures que tu émerges. Tu as pris une douche. Tu es fraîche et pimpante. Je ne parle pas concernant ta matinée chaude.
    
    Le reste de la semaine se passe normalement, calmement. Nous ne faisons pas l’amour. Je le comprends, ta dernière prestation a dû être épuisante. Je te quitte dimanche soir. Je ...