L'ADULTERE DE MA FEMME ME DONNE DES AILES...
Datte: 17/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... week-end suivant, elle me proposa de l’emmener au restaurant. Elle s’était mis sur son trente et un pour l‘occasion. Un bustier d’un rouge criard, aux bonnets pigeonnants. Un slip fendu et un porte-jarretelles assortis, des bas gris fumé complétant la tenue. Pour couvrir le tout, elle avait passé une robe noire.
Nous avons débarqué au restaurant dans les alentours de 21h00. Au cours du repas, nous avons discuté de choses et d’autres sans aborder le sujet qui l‘offusqué. L‘addition arriva.
Alors que je m’apprêtais à déverrouiller les portières de la voiture, ma femme me lança :
- Trouve un endroit discret, j’ai envie de te sucer.
- Là… maintenant…
- Oui, tout de suite…
Après un coup d’œil circulaire autour de nous, je trouvais ce que je cherchais. Je pris ma femme par la main et l’attirais dans
Une petite rue déserte, là où il n’y avait pas d’éclairage public. Pas le temps de défaire la boucle de ma ceinture que ma femme s’était agenouillée, et s’occupa prestement de ma braguette. Elle y farfouilla à l’intérieur puis tira ma verge à l’air libre. Elle l’engloutit et lui fit subir un traitement très intensif. Me suçant avec une telle gourmandise que j’en étais ébloui.
- Oh oui continue, l’encourageais-je. J’adore que tu me suces comme cela, je suis très excité...
Une sensation de plénitude m’avait envahit. Je sentais le plaisir monter en moi. Je gémissais de plus en plus fort puis, n’y tenant plus, dans un long spasme de plaisir je jouis très fort, ...
... projetant de longs jets de ma semence dans sa bouche. .
Adossé à un muret, je continuais à haleter tellement le plaisir avait été intense. Puis, reprenant mes esprits, je me rajustais et nous avions repris le chemin nous menons jusqu’à notre véhicule.
- Tu es mon débiteur à présent… fit-elle.
- Ah bon et de quoi ?
- Tu verras. Me répondit-elle, les yeux pleins de malice.
Sitôt arrivé à la maison, nous avions regagné notre chambre. Sans un mot, nous nous sommes déshabillés. Puis de baisers en baisers, nous avions commencé à faire l’amour.
- Lèche-moi la foufoune, fit-elle.
Elle ouvrait largement les cuisses, exhibait sa vulve grasse. Je me suis penché sur elle et j’ai effleuré sa fente acidulée, de ma langue, guettant sa réaction. Puis j’étais passé au plat de résistance, sillonnant son sexe en tous sens. Donnant des coups de langue comme si je mangeais une onctueuse crème chantilly. Quand je la sentis tout proche de conclure, je lui enfonçais deux doigts très profondément dans la fente, et deux autres dans son anus. Elle me tendait le bassin tout en gémissant, la tête rejetée en arrière. Je pris son clitoris gorgée de sang entre mes lèvres, et tout en le suçotant je lui branlais simultanément, et énergiquement ses deux orifices. Une mouille épaisse me coulait le long des doigts. Elle se mit à gémir en remuant le bassin. Se mit à crier sans retenue. Je m’appliquais à prolonger son plaisir en suçotant son clito par intermittence. Chaque fois qu’elle parvenait ...