Kisme, notre petite bonne asiate (3) - Histoires de Sexe

Kisme, notre petite bonne asiate (3)

... réciproquement. Le soir, elle ne la lâche pas d’une semelle, l’empêche pratiquement de voir son amant et veille à ce qu’elle se couche en premier.

Lundi matin, rebelote. Elle ne relâche sa surveillance qu’après le départ de Mark.

Ce n’est que le soir qu’elle décide de les laisser se retrouver. Peu après le dîner, elle affirme qu’elle a quelques courses à faire à l’entrée du quartier. Elle va jusqu’à annoncer qu’elle n’en aura que pour une heure, ni plus, ni moins. Dès qu’elle a franchi le portail, Mark rejoint Rachel dans la cuisine. Quand il passe la porte, sa bite est déjà dure. Rachel essuie quelques assiettes, fait semblant de l’ignorer, se met à rire quand elle sent sa bouche dans son cou et ses mains fébriles dans son bustier. Elle se laisse tripoter, embrasser et peloter. Bientôt, Mark la retourne, désigne la protubérance qui déforme son pantalon en prenant un air désolé. Rachel sourit, libère sa verge, la caresse, la branle doucement. Puis elle entraîne Mark jusqu’à la chambre d’amis. Elle s’assoit sur le lit, va pour prendre Mark dans sa bouche, mais ce dernier l’en empêche :

— Baisse ton top ma chérie.

Rachel s’exécute. Elle fait glisser les bretelles de son haut sur ses frêles épaules, puis dévoile entièrement sa poitrine. Enfin, elle s’empare du sexe de Mark et approche ses lèvres.

— Non mon ange, je voudrais ce que tu allais me faire la dernière fois …

Rachel hésite, puis elle se souvient. Alors elle enveloppe le pénis de Mark entre ses ...

... seins, les comprime et les fait se frotter l’un contre l’autre. Ce n’est pas la première fois qu’elle prodigue ce genre de caresse, quant à Mark, cela fait des années qu’il n’a pas été branlé ainsi. La dernière fois, Joy s’était chargée de le soulager. A l’époque, ils baisaient encore un peu. Il n’avait pas trente-cinq ans.

La sensation de douceur est incroyable. Rachel fait lentement coulisser son sexe entre ses seins. De temps à autre, elle les fait rouler ou bien s’efforce de caresser les cuisses et le ventre de Mark avec ses tétons. Quand celui-ci commence à s’agiter et à lui baiser les nichons comme s’il était en elle, elle arrête les papouilles et serre plus fort, en poussant sur ses petits bras. Mark sent son pénis sur le point de se transformer en canon à neige. Il se met à gémir, à supplier :

— Arrête ! Oh pitié ! C’est trop bon ! Je n’en peux plus !

Un premier jet de foutre atteint les lèvres et le nez de Rachel. Un second lui arrive pratiquement dans l’oeil et sur une de ses joues. Elle n’est nullement troublée : on lui a déjà éjaculé sur le visage. Son dernier amant, l’homme marié, le faisait à chaque fois et crachait des quantités de sperme autrement plus impressionnantes. Mark continue à éjaculer, mais cette fois, ce sont les seins de Rachel qu’il souille abondamment. Quand il a bien joui, il embrasse la belle sur son front et l’aide à s’essuyer. Les deux amoureux partent d’un irrépressible fou-rire :

— Tu m’as salie ! Proteste Rachel.

— Mais non, ...