1. La bourgeoise et le marabout (10)


    Datte: 18/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... quelques gâteaux d’apéritif, sa main se pose sur l’un de mes mollets et remonte doucement le long de mes jambes. Lorsqu’il arrive au niveau de la cuisse, il s’attarde un peu au niveau de la jarretière du bas puis remonte encore. Sa main glisse ensuite vers l’arrière de ma fesse en suivant la fine dentelle du string que je porte. Puis elle s’insinue entre mes fesses et s’infiltre vers l’avant jusqu’au niveau de mon sexe.
    
    Elle s’attarde de nouveau, appréciant sans nul doute que j’aie choisi le string fendu qui met en valeur la petite toison de mon sexe. Il ne dit rien mais je suis certaine qu’en son for intérieur, il est satisfait de tout cela.
    
    Comme lors de notre sortie précédente, nous sommes installés dans un petit coin tranquille du restaurant. François me raconte sa journée tout en veillant à ne pas laisser mon verre vide. Il souhaite que l’alcool me désinhibe en vue de la suite de la soirée car il n’imagine pas que je n’attends que ça. Juste avant le dessert, je m’absente un court instant pour aller aux toilettes. Lorsque je reviens, il se penche vers moi au-dessus de la petite table et me dit à voix basse
    
    — Tu es vraiment en beauté ce soir. Lorsque tu as traversé le restaurant pour aller aux toilettes, tous les hommes t’ont regardée avec attention. Ils te convoitaient tous du regard.
    
    Posant ma main sur la sienne et le regardant droit les yeux, je lui réponds
    
    — N’est-ce pas ce que tu aimes ? Ils me désirent peut-être tous mais toi seul me possèdes !
    
    A la ...
    ... fin du repas, une fois nos affaires récupérées au vestiaire, nous reprenons le bac qui nous ramène sur la berge puis nous dirigeons vers notre voiture garée tout près. François ouvre ma portière mais, avant que je m’installe, il me colle contre la voiture, m’embrasse à pleine bouche et glisse ses deux mains sous mon trench-coat pour bien me peloter les fesses. Son bas-ventre est rivé au mien et je sens son sexe bandé contre mon pubis. Il se frotte, il s’excite comme un chien fou mais se détache soudain de moi en disant
    
    — Trouvons un endroit plus calme, ici il y a trop de passage.
    
    Pour jouer le jeu, je lui dis d’une voix suave
    
    — Oui chéri, trouve un endroit plus tranquille pour que je me donne à toi. J’en ai envie depuis le début du dîner.
    
    Après quelques minutes de conduite, François engage la voiture dans une allée sombre à droite de la route principale et se gare quelques dizaines de mètres plus loin sur un petit parking. Comme il ne fait pas froid, il me demande de descendre et je m’exécute. Il m’entraîne à l’avant de la voiture, sort un loup noir de carnaval de sa poche et me le tend
    
    — Mets-le devant tes yeux pour ajouter au mystère de l’instant.
    
    Je le porte à mon visage, passe l’élastique derrière ma tête et me voilà transformée en une belle inconnue de nuit. Sans que François le demande, mais j’imagine que c’est ce qu’il attend, j’ouvre mon manteau et lui fais quelques effets en tournant devant lui tel un mannequin lors d’un défilé de mode. Il sort son ...