1. Terma 63- Zoulika et Layla concubines infidèles (1) :


    Datte: 15/09/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... lubrifiante, peut-être aussi que ma chatte était chaude, brulante de désir et donc souple et ouverte à plaisir. Alors, il enfonça brusquement et avec énergie sa grosse queue qui me pénétra avec facilité et en vitesse jusqu’aux couilles. J’ai gémis de plaisir dès la lente entrée de la queue dans ma chatte puis j’ai hurlé de jouissance à son enfoncement brutal jusqu’aux couilles. Mon pied n’arrivait plus à me soutenir et j’ai failli tomber si ce n’était les mains puissantes de l’homme qui m’enlaçaient la taille et les fesses. Mon hurlement a été aussi stoppé par une main de l’homme sur ma bouche, j’étais debout mais presque étourdie, dans des vapeurs merveilleusement agréables. J’ai pensé à Layla qui devait certainement nous écouter derrière la porte et je souhaitais autant pour elle tout à l’heure, si l’homme aurait suffisamment de force sexuelle.
    
    Puis il m’a baisée avec une énergie totalement nouvelle pour moi et ma chatte, aucune comparaison avec mes années de mariage. Des coups de reins puissants, qui me transperçaient et secouaient tout mon corps, des vas et viens accélérés de sa grosse queue dans mes entrailles, j’étais, grâce à cet homme et a sa formidable bite, et pour la première fois de ma vie, au septième ciel. Pratiquement étourdie par des ondes continues de plaisir dans tout le corps, je souhaitais des jouissances sans fin. Dès le départ, j’ai eu un premier orgasme avec ses doigts et sa langue, puis d’autres à l’ouverture de ma chatte puis à l’enfoncement de ...
    ... la queue. Le plus violent qui m’avait pratiquement étourdi et fait perdre mon équilibre, c’était le défoncement brutal. Ensuite, mes orgasmes se suivaient en continue par les vas et viens de cette grosse queue qui m’écartait et frottait avec virilité mon intérieur. Je soufflais, haletais et mon cœur s’affolait, en danger peut-être, mais ça m’était égal car c’était des violences agréables, jouissantes, inédites pour une femme délaissée trop longtemps par son mari. Pour lui aussi, on voyait qu’il avait beaucoup de plaisir. Je voyais sur son visage, presque collé au mien, qu’il soufflait fort et gémissait en continu et bruyamment. Je suis certaine qu’il devait penser qu’il baisait, enfin, cette femme qui venait si souvent le provoquer dans son magasin, sans jamais oser aller plus loin. Il la possédait enfin et en profondeur et ils jouissaient franchement tous les deux. Il avait comprit qu’elle était affamée de sexe et se donnait entièrement. Alors, il voulait me voir en entier, et s’écartant un peu, il me poussa à enlever mon hijab, ma robe et mon soutien. J’étais nue entre ses bras, alors, je l’ai aidé moi aussi, à se dénuder entièrement. Puis, il enfonça de nouveau sa queue dans ma chatte, et corps à corps, poitrine contre poitrine, ce qui amplifiait mes jouissances, il recommença son pilonnage dans ma chatte qui coulait, coulait en abondance le long de mes cuisses. Être nus, ça me permettait de toucher et caresser son dos et ses fesses puissantes et ça me grisait, cette peau ...
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