Péché capital avec Brigitte - Histoires de Sexe

Péché capital avec Brigitte

... n’ont pas grand-chose à envier aux nanas plus jeunes. Bref, elle a été et est toujours bandante. J’en sais quelque chose.

La fin de mon dur labeur approche, les meubles sont montés. Elle m’invite à m’asseoir sur le canapé. Et m’offre une bière. Et là, l’osmose de la journée se poursuit, nous discutons comme des « amis » ou du moins en se draguant un peu. Comme deux personnes qui ne se connaissent pas très bien. Comme si elle n’était pas la mère de mon meilleur pote.

Il est 20h. Je m’apprête à partir.

— Il faut que j’y aille Brigitte.
— Tu ne veux pas manger un morceau ici ? Et puis j’ai un dernier service à te demander.
— Ah bon, et quoi ?
— J’ai un problème avec mon lit, deux lattes et une vis sont parties, tu pourrais les fixer, sinon ça grince.
— Euh, oui, pas de problème, on y va… Euh, pardon j’y vais.

Effectivement, le lit n’a pas été très bien remonté, je fixe tout cela. Et elle apparaît dans la chambre.

— Alors, tu as fini ? Il ne grince plus ce lit ?
— À priori, non.
— Il va falloir vérifier, tu ne crois pas ? Répond-elle avec un regard lubrique

Elle monte sur le lit à quatre pattes et se dirige vers moi qui suis de l’autre côté du lit. La scène est sublime. Elle est donc à quatre pattes sur le lit et se dirige vers moi et elle dit :

— Tu ne veux pas vérifier avec moi, s’il grince toujours ?

Et ajoute devant mon hésitation :

— À moins que je ne sois trop vieille !
— Euh, non, mais que va penser P. ?

Sa main touche mon sexe à ...

... travers mon pantalon.

— On dirait que tu en as envie pourtant, mais on peut s’arrêter là. Mais je croyais que l’on était adultes et que l’on ne pensait pas à ce que va penser untel, me dit-elle tout en titillant mon sexe et mes tétons, toujours à quatre pattes devant moi.

Alors là, que faire ? Qu’auriez-vous fait à ma place ? Et bien moi, j’ai craqué !

Je monte sur le lit, elle me saute au cou et m’embrasse goulûment. Je passe ma main sur ses seins. Elle rigole :

— Ils te plaisent, hein, mes seins, tu les mates depuis ce matin… coquin ?

Je descends ma main entre ses jambes. Elle n’a pas de culotte, ni de string, juste une chatte déjà bien humide.

— Eh bien, à priori, cela t’a excitée, que je te mate toute la journée ?

Elle me regarde d’un air entendu… La chaleur monte. Je lui enlève sa robe, elle est nue, sublime, bandante, quasiment parfaite. Je l’embrasse partout, dans le cou, je lui lèche le lobe de l’oreille, les seins. Mes mains se baladent partout : sur ses fesses, ses jambes, ses cuisses, ses pieds. Son sexe est épilé juste comme il faut. Quelques poils dessus, rien autour de ses lèvres.

Je titille son clitoris, sa respiration s’accélère un peu. Elle est ouverte. Un doigt, deux, puis trois entrent dans son vagin. Et ma langue s’y met aussi. Je la lèche partout, sur ses pieds, ses jambes, ses cuisses. Elle veut que je lui prenne la chatte avec ma langue, je la fais languir… Puis j’attaque enfin son clitoris, lèche son sexe doucement d’abord, goulûment ...