1. Premier contact.


    Datte: 15/09/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, intermast, Oral Auteur: Igby, Source: Revebebe

    ... plus de la dévorer des yeux mais son corps magnifique m’appelle et lorsque je relève la tête pour ne plus regarder ses cuisses je plonge dans son décolleté qui laisse voir une large partie de sa poitrine en cachant néanmoins les auréoles de ses seins, je ne peux que deviner ses tétons qui pointent toujours à travers le tissu de son débardeur. Mais au moment où elle se penche pour se resservir le tissu se gondole doucement et laisse entrevoir à mes yeux ravis le début de ses aréoles brunes et la majeure partie de ses seins qui semblent si doux et si fermes. Et lorsqu’elle se rassoit au fond du canapé je suis sûr qu’elle a attrapé mon regard fixé sur sa poitrine, la matant de façon éhontée, mais elle ne fait pas de commentaire.
    
    Nous dînons en tête à tête à la table du salon ce qui me permets de continuer à observer les jolies formes de son buste tout en dissimulant mon érection qui se fait de plus en plus intense et m’oblige par moment à me tortiller sur mon siège pour éviter d’en avoir mal.
    
    Après le repas nous nous rasseyons dans le canapé et l’ambiance se fait peu à peu plus intime au point qu’elle me fasse bientôt cette révélation.
    
    — Tu sais, je viens de rompre avec mon copain et ça a mit fin à une relation de deux ans alors je ne pense pas pouvoir recommencer avec quelqu’un d’autre tout de suite.
    — Oui je comprends ça… Dis doucement, tentant de cacher ma déception puisque depuis un petit moment maintenant j’espérais vraiment que cette soirée débouche sur ...
    ... quelque chose de plus agréable.
    
    Un silence lourd s’installe alors entre nous sans que je le veuille mais je ne sais plus quoi dire et je me sens affreusement con.
    
    — Tu te souviens de notre flirt en fin de quatrième ? Me demande t elle soudain.
    — Oui, oui bien sûr, comment pourrais-je oublier… ?
    — Ça t’avait plu ?
    — Oui, beaucoup. Je te trouvais vraiment ravissante à l’époque… Enfin c’est une façon mignonne de dire les choses…
    — Alors, tu me trouvais comment en vrai ?
    — Je ne peux pas dire ça…
    — Si dis le, c’est du passé toute façon.
    — Je te trouvais vraiment très excitante… Bien que je n’aime pas employer ce terme tu étais même vraiment bonne, c’était à tomber raide !
    — Et aujourd’hui ? Dit-elle l’air malicieux, une étincelle dans les yeux.
    — Ça n’a pas changé, sauf qu’on a grandi mais c’est exactement pareil. Dis-je la gorge nouée.
    
    Tout en me regardant elle pose doucement sa main sur mon sexe à travers mon jean et me caresse doucement.
    
    — Qu’est ce que tu fais ? Dis-je la voix chevrotante. Je pensais que tu ne voulais pas recommencer avec quelqu’un…
    — Je ne te parle pas de coucher, seulement on pourrait re-flirter un peu, voir un peu plus, après tout tu l’as dis, on a grandi.
    
    Puis elle se lève et me prend par la main. Je me laisse faire, me lève et la suis. Nous entrons dans une chambre que je soupçonne être celle de sa mère. Elle me fait asseoir au bord du lit et vient s’agenouiller devant moi. Elle remonte ma chemise et déboutonne mon jean qu’elle fait ...
«12...5678»