Premier contact.
Datte: 15/09/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
intermast,
Oral
Auteur: Igby, Source: Revebebe
... sur la chaise. Au moment où je palpais la base de ses fesses elle se tourna à nouveau vers moi, plus vivement que tout à l’heure, alors que je retirais ma main. Elle me fixait à nouveau dans les yeux mais sans rien dire cette fois. Ses yeux brillaient d’excitation et elle passa doucement sa langue sur ses lèvres déformées en un sourire coquin. Tout tremblant je rapprochais ma main de ses fesses et elle resta sans rien faire, se contentant de me regarder, comme pour m’inciter à continuer. Je reposais ma main sur ses fesses et ne bougeait plus. Et quel ne fut pas mon enchantement lorsqu’elle se tortilla légèrement pour se frotter elle même à ma main, un véritable appel à continuer mes caresses déplacées. Ma main s’activa alors aussitôt pour reprendre une langoureuse caresse que j’aurais voulu éternelle. Judith se retourna vers l’écran pour ne pas éveiller l’attention du prof et posa sa main sur la mienne, dirigeant dans son dos les caresses que je lui prodiguais, possédant pour moi tout seul ses fesses rebondies.
Malheureusement, comme toutes les bonnes choses ont une fin, la sonnerie retentie avant que le film ne s’achève et les élèves se lèvent, s’emparant de leurs sacs prêts à sortir alors que le prof rallumait la lumière. Je traînais assez pour être le dernier à sortir et remarquais que Judith faisait de même. Tant et si bien que le prof fut obligé de nous mettre à la porte avant de fermer la salle de classe à clé et de se diriger à vive allure vers les escaliers, ...
... comptant certainement profiter de la pause pour fumer une cigarette ou, comme j’aimais à l’imaginer, aller draguer notre jolie prof d’anglais en salle des profs.
Dans le couloir je restais seul avec Judith qui s’était adossée au mur et me fixait, le regard vide. Je m’approchais d’elle et la fixais à mon tour en m’attachant à ne pas trahir mes émotions.
— Elles te plaisent mes fesses ? Finit-elle par me demander.
— Oui très… Dis-je.
— Et quoi d’autre ?
— Hein ? Comment ça ? Demandais-je, l’air niais.
— Qu’est ce qui te plait d’autre chez moi ?
— Euh… Tout…
— Quelque chose en particulier ?
— Ben… Dis-je en dévorant sa poitrine des yeux. Sa petite poitrine, peut être 80 B, qui me faisait rêver.
— Tu veux les toucher ?
— Quoi… ?
— Mes seins, tu veux les toucher ? Tu peux si tu en as envie… Dit-elle en bombant le torse pour mettre sa poitrine en avant.
Comme un automate ma main se leva et se posa sur l’objet de mes désirs. Sous le t-shirt moulant ses formes, je sentais presque la peau de ses seins que j’imaginais très douce avec l’envie tenace d’y mordre.
Cela faisait peut être cinq minutes que je la pelotais sans vergogne lorsqu’un prof sorti d’une salle de classe au bout du couloir. Je retirais vivement ma main du corps de Judith et tâchais de reprendre mon souffle.
— Eh, tous les deux ! Qu’est ce que vous faites ici ? C’est l’heure de la pause, descendez dans la cour ! S’exclama le vieux prof qui ne semblait n’avoir rien remarqué de suspect.
Nous étions ...