1. Ma ''chef de service''


    Datte: 14/09/2020, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail voyage, Oral préservati, pénétratio, fsodo, couple, Auteur: Alain S, Source: Revebebe

    ... faisant attention à ne pas partir moi-même, je la sens jouir.
    
    — Prends une capote et baise-moi.
    
    Elle avait tout prévu ou quoi ?
    
    — Attends, je vais faire comme les putes.
    
    Elle me met la capote avec sa bouche. Je mets Nadine sur le dos, relevant ses jambes et la pénètre sans précaution tellement elle mouille. Et je l’imite dans le langage.
    
    — Eh bien, tu aimes être baisée comme une salope !
    — Vas-y, lime-moi à fond.
    — Tu vas regretter de m’avoir excité. Je vais me vider les couilles après t’avoir baisée longuement.
    — Des mots ! Vas-y à fond.
    
    Je la lime en faisant attention à ne pas partir, situation pas facile du tout. Puis, après plusieurs positions, elle jouit assez bruyamment(bonjour les voisins) et moi je remplis la capote. Nous nous étendons sur le dos et elle se pelotonne sur moi en chien de fusil, les yeux brillants.
    
    — Eh bien, dis donc, me dit-elle, tu baises comme un dieu, ta copine doit être contente.
    — Je n’ai pas de copine, je suis célibataire…
    — Mais c’est du gâchis cela, les jeunes filles de ton entourage n’ont pas de lunettes ou quoi ? Tu es la gentillesse même, au travail rien à dire, quant au lit, alors là mon ami ! je n’ai jamais été baisée comme cela.
    — Tu es gentille.
    — Non, non, sincère. Le dernier qui m’est passé dessus a fait cela en deux minutes et s’est endormi, je me suis finie aux toilettes, toute seule comme une conne.
    
    Et de là, nous nous assoupissons, avant de reprendre cela une grande partie de la nuit. Le lendemain ...
    ... matin, avant de descendre au petit déjeuner, elle me demande une certaine réserve par rapport aux autres.
    
    — Tu comprends, je ne regrette rien mais les gens jasent tellement de conneries que je n’ai pas envie d’entendre des ragots sur mon dos et toi non plus je pense.
    — Oui, je suis bien d’accord avec toi.
    
    Elle s’habille comme à l’aller, je m’aperçois qu’elle met des bas. Je passe par ma chambre prendre mes affaires et nous prenons l’ascenseur ensemble où elle m’embrasse à pleine bouche. Puis nous repartons en train sur Nantes. Pendant le trajet, je suis à côté d’elle et le reste de nos collègues est dans le wagon d’à côté, hasard des réservations, ce qui nous arrange. Pendant le trajet, elle me dit :
    
    — Je vais te demander pardon, il faut que je me rende aux WC.
    — Ah ! Excuse-moi.
    — Non, pas de mal, mais si tu veux dans trente secondes, tape trois fois à la porte, il n’y a personne apparemment, de plus j’ai envie.
    
    Aussitôt dit, aussitôt fait, je me pointe à la porte. Elle m’ouvre, la culotte est déjà descendue.
    
    — Baise-moi, je ne tiens plus, je vais te faire bander.
    — Pas besoin, c’est déjà raide.
    
    Je la penche sur le lavabo et la pénètre par derrière, sans grandes précautions vu qu’elle mouille abondamment. Au moment où je sens que je vais partir, je me retire et la pénètre par le petit trou, que je trouve très ouvert depuis tout à l’heure. Après un petit cri de surprise et peut-être de douleur :
    
    — Vas-y, encule-moi à fond, j’adore mais tu es un peu gros ...
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