Les travaux d'extérieur ont du bon - Histoires de Sexe

Les travaux d'extérieur ont du bon

... son sexe et je glisse deux doigts en elle alors que ma langue va jouer avec son clito. Ses gémissements sont vite remplacés par des cris de plaisir. Alors que j’accélère progressivement le rythme, elle m’encourage :

— Vas-y ! Accélère ! Va à fond, je vais jouir…

Je m’exécute et agite mes doigts aussi vite que je le peux en elle. Effectivement, je vois le plaisir monter en elle et elle ne tarde pas à jouir bruyamment. Une fois que son vagin a fini de se contracter autour de mes doigts, je les retire, me redresse à genoux et la laisse reprendre ses esprits. Il lui faut une bonne minute pour qu’elle retrouve son souffle et rouvre les yeux. Elle me regarde avec un grand sourire de satisfaction :

— Merci, c’était divin !
— Ce n’était qu’un juste retour des choses…
— Oui, mais tu sais ça faisait bien longtemps que je n’avais pas pris mon pied comme ça.
— Tu ne te caresses pas quand tu es seule comme ça ?
— Si, mais ça ne fait pas pareil.

À ce moment, son regard se fixe sur mon sexe revenu au garde-à-vous.

— Je vois que tu es à nouveau d’attaque !
— On dirait bien…
— Par contre, je n’ai pas de capote… J’espère que tu as ce qui faut…
— Oui, j’en ai toujours une qui traîne dans mon portefeuille. Je reviens.

Je file vite vers la salle de bain où sont restées mes affaires et attrape mon portefeuille. J’en sors un préservatif et retourne vers la chambre. Alors que j’entre, je découvre Christelle en train d’enfiler un deuxième basstay-up noir, le premier couvrant ...

... déjà une jambe. Je la regarde avec un sourire ravi.

— Je me suis dit que ça pourrais te plaire…
— Oh que oui ! Cela met encore plus en valeur tes jambes !

Je la regarde terminer d’enfiler le bas et couvre mon sexe du préservatif. Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées et je viens m’allonger sur elle. Alors que je présente mon sexe à l’entrée du sien, elle l’attrape d’une main et me fixe :

— Je rappelle les règles : pas de baisers sur la bouche et pas de sentiment.

J’acquiesce d’un hochement de tête et elle pose mon gland entre ses lèvres. Je la pénètre lentement mais complètement dès le premier coup de reins. Alors que je commence à bouger en elle, elle me murmure à l’oreille :

— Surtout prends ton temps ! Laisse-moi savourer…

Cela tombe bien, je comptais aussi profiter ce moment. Je prends donc une cadence assez lente dans mes allers-retours en elle. Pendant de longues minutes, je varie la profondeur et l’angle de pénétration ainsi que le rythme mais toujours avec une allure modérée. Les yeux toujours fermés, elle participe pleinement à nos ébats en orientant son bassin comme elle le souhaite et en promenant ses mains entre son dos et mes fesses, elle me donne des indications sur le rythme qu’elle veut que je prenne.

Bien qu’elle ne veuille pas que nous nous embrassions lèvres contre lèvres, ma bouche n’est pas inactive : je l’embrasse sensuellement dans le cou, descends parfois sur ses seins que je couvre de baisers et agace ses tétons qui pointent ...