1. DOUCEUR ADOLESCENTE


    Datte: 14/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Tamalou, Source: Hds

    À 19 ans, j'étais encore une fille, pas une femme. Cependant, mes nombreuses expérimentations avaient décidé de mes préférences.
    
    C'était déjà parfaitement clair pour moi. Je n'étais ni lesbienne, ni bisexuelle. J'aimais les hommes virils, les machos.
    
    Mais surtout, j'aimais les voir succomber d'amour pour moi. Perdre leur arrogance, s'humilier, me vénérer comme une déesse.
    
    Cela n'a rien d'extraordinaire. Toutes les filles rêvent d'un prince charmant qui délaisse tout pour elles.
    
    Et puis le bel amant dévergonde la fille, la soumet à son désir, et elle devient sa servante, sexuellement parlant.
    
    Mais moi, je choisis les mâles dominants que je dompte. J'aime les voir brûlant de désir devant moi.
    
    La convoitise, la luxure qui brille dans leurs yeux, c'est ce qui m'excite.
    
    Pour beaucoup, je suis une dominatrice, même si je ne porte jamais d'accoutrement de maîtresse dominante.
    
    Je n'utilise pas non plus de gadgets. J'utilise la séduction de mon corps juvénile. Mais, par précaution, je les attache toujours.
    
    En apparence, je suis une fille normale. Je peux me contenter du sexe traditionnel, sans domination, sans jeux de rôles.
    
    Car les hommes proprement soumis ne sont pas faciles à trouver. Il faut du temps et de la patience.
    
    J'ai découvert mon penchant à 19 ans. Il avait 53 ans. À cet âge, les hommes tombent facilement dans les filets d'une jolie nymphette.
    
    Je ne l'avais pas remarqué. Dans le bar où je travaillais comme serveuse, un tas de mecs ...
    ... cherchaient à baiser les employées.
    
    Le patron du bar n'utilisait que de la chair fraîche pour travailler dans son bar. La tenue était sexy mais correcte.
    
    Il disait que nous pouvions faire ce que nous voulions en dehors, mais pas dans son établissement.
    
    Certaines avaient interprété cela en arrondissant leur paye dans la ruelle, derrière le bâtiment.
    
    Je passais mes journées à éviter les mains baladeuses et à entendre leur baratin débile, leurs déclarations d'amour ridicules.
    
    Je ne connaissais pas ce gars auparavant. Il est venu traîner régulièrement dans un coin de la salle.
    
    C'est une copine qui me l'a fait remarquer. Assis dans son coin, il ne me quittait pas des yeux.
    
    J'étais consciente de la fixité de son regard. Il ne clignait pas des yeux. Il me dévorait des yeux.
    
    Je me suis fait un devoir de prendre ses commandes moi-même, je ne laissais jamais d'autres filles servir sa table.
    
    Au début, il était timoré et n'osait pas soutenir mon regard lorsque je m'approchais de lui.
    
    Puis le temps a fait son œuvre, son désir a fait taire ses craintes, et il s'est détendu, il est devenu plus direct.
    
    Il reluquait mes seins tandis que je prenais sa commande, juste à côté de lui, haussant le cou pour mieux voir.
    
    Très vite, je me suis installée face à lui, me penchant légèrement en avant par-dessus la table afin de lui procurer un bon angle de vue.
    
    Au bout de quelques semaines, je me suis aperçue qu'il remuait sa main sous la table.
    
    J'ai fait mon travail ...
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