Une presque inconnue qui s'offre (1)
Datte: 14/09/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
Cette fois, j’ai longuement hésité, fantasme ou pas. Disons que c’est du 30-70
C’est lors d’une promenade que cette histoire me revint à l’esprit. Une grande partie est vraie, le reste ne fut vécu que dans ma tête. Quoique, tout est vrai ou tout n’est que fantasme; allez savoir; moi-même, je m’y perds. Toujours est-il que je l’ai déjà racontée à une amie proche, jamais je n’avais imaginé l’écrire un jour. En fait, c’est sur l’insistance de cette amie que j’ai finalement écrit. Elle fut même celle qui m’apprenait à supplicier divinement son superbe corps. Ben, vous l’aurez compris, c’est elle et c’est moi.
C’est un samedi matin de juillet que commence l’aventure. Je profitais de la fraîcheur matinale pour une petite balade dans une forêt des alentours. Dans ma poche, un petit sac de toile et mon couteau suisse, on ne sait jamais, des fois, qu’un troupeau de champignons venait à croiser mon chemin. Bref, j’en étais à me soulager contre un arbre, que ce claquement parvint à mes oreilles. Un autre suivit presque immédiatement. Une fois soulagé, je me dirigeais dans la direction des claquements. On aurait dit comme des gifles qu’on assène. Enfin, quand je dis gifle, cela pourrait aussi être le claquement d’un fouet, ou de quelque chose d’approchant. C’est difficile à dire dans une forêt, le bruit se déforme dans l’écho. Et puis, il faut dire que je n’étais pas un expert en la matière. Bref, pendant un moment, je n’entendis plus rien d’autre que le chant des oiseaux, le vent ...
... dans les arbres, un pique-bois creusant un arbre. Et puis, cela recommença de plus belle.
Sauf que cette fois, il y avait des gémissements après chaque claquement, devenu nettement plus puissant aussi. Il me semblait approcher de la source quand un plus violent claquement m’envoya m’asseoir à même le sol. Je venais de me fracasser ma tronche contre un vénérable peuplier. Le temps de récupérer, le bruit avait changé pour un autre plus léger, mais encore plus violent.
Je trouvais enfin la source, une femme penchée en avant, avait ses avant-bras solidement plaqués contre un chêne à l’aide d’une belle corde rouge. Elle portait ce qui devait être une robe longue qui était remontée sur son dos, et sa culotte trônait sur ses chevilles, elles aussi, attachées ensemble. Derrière elle, un homme, grisonnant, bien plus âgé que la demoiselle avait, dans sa main gauche, une longue, large et épaisse lanière en cuir avec un court manche d’une bonne largeur de main. C’est lui qui frappait la croupe joliment arrondie de cette demoiselle. Elle ne devait pas avoir plus de 25 ans à tout casser. En gros, la moitié de l’homme qui la flagellait. Et là encore, j’avais un gros doute. Les coups pleuvaient sur son cul à un rythme fort judicieusement calculé. L’homme maîtrisait parfaitement ses gestes. La jeune femme ne semblait pas détester se faire rosser le cul à la voir se mordiller sa lèvre inférieur à chaque coup reçu. J’étais sur leur gauche, donc de profil pour eux.
J’avais la parfaite ...