Ma petite cousine Léa (1) - Histoires de Sexe

Ma petite cousine Léa (1)

Bonjour à tous et toutes,

Commençons par les présentations...

— Gauthier (moi-même): jeune homme de 26 ans, assez grand (1m95), les cheveux noirs coupés très courts, les yeux bruns, une peau hâlée et un sexe de 22 centimètres;

— Léa (ma cousine): jeune fille de 22 ans, suffisamment grande pour une fille (1m76), des longs cheveux noirs d’ébène, des yeux bleus-verts à tomber et des seins parfaits (85b)

Nous habitons tous les deux en Belgique, dans nos familles respectives, séparés d’une vingtaine de kilomètres. Nous nous voyons assez régulièrement et sommes assez proches. Etant tout les deux enfants uniques, on se considère presque comme des frères et sœurs même si on a très peu de secrets l’un pour l’autre. On parle de tout et de rien, autant de sujets banals de jeunes adultes que de los vies intimes respectives.

Voilà pour les présentations, on peut maintenant passer à ce qui nous intéresse tous, n’est-ce pas ?

Cette histoire se passe il y a quelques années, je venais tout juste de sortir de mes études et je commençais à travailler comme menuisier. Elle était encore aux études dans une école assez proche de chez nous.

Nous sommes vendredi soir et on se voit comme presque toutes les semaines pour manger un bout et boire un verre. Mes parents sont partis pour le week-end, je lui propose donc de venir chez moi. Elle arrive vers 18h30, magnifique comme à son habitude, en jean moulant et un très beau croc top noir. Ses fesses sont agréablement mises en valeur ...

... par son pantalon et son décolleté assez plongeant. Je n’avais jusque-là jamais vu ni même imaginé Léa de manière sexuelle. Cependant, n’ayant plus de copine depuis presque 1 an, donc une activité sexuelle plus que réduite, quand je la vois arriver, tout change en moi... je dois me maîtriser pour ne pas plonger...

La soirée commence doucement, on prend l’apéro et on parle de tout et de rien, de ses études, de mon travail, des amis, collègues et autres. La soirée se passe bien, on mange, on boit (mais pas plus que mesure), on rigole.

Soudain, on en vient à parler de nos vies intimes. Je sais qu’elle n’a pas de copain pour le moment et elle sait aussi que je n’ai personne non plus. Ce à quoi je ne m’attendais pas en revanche, c’est à ce qu’elle me demande si je n’ai pas trop de manque sexuel. Elle, elle m’explique qu’elle a un plan cul assez régulier et qu’elle ne sent pas le besoin de se mettre en couple. Moi je lui explique que non, effectivement, pour le moment je n’ai personne de chez personne...

Je ne sais pas ce qu’il sait passé ensuite, mais elle m’a posé une question fatale:

— tu te soulages tout seul alors, je suppose ?

— heu... ben... oui, pas le choix.

— C’est dommage, tu es plutôt bel homme, je ne comprends pas que tu sois seul.

— tu sais, la vie de couple n’est pas toujours évidente et...

Là, pendant que je lui parle, elle change de place et vient s’asseoir juste à côté de moi dans le fauteuil

— Je sais, je sais. J’ai connu ça aussi. Mais ...