1. Massage à quatre mains


    Datte: 13/09/2020, Catégories: fhh, jeunes, inconnu, grosseins, anniversai, douche, odeurs, massage, intermast, entreseins, Oral préservati, pénétratio, totalsexe, Auteur: Fleur-de-France, Source: Revebebe

    ... seins entre lesquels j’aurais bien aimé répandre mon plaisir lorsqu’elle m’y branlait avec tant de tendresse se retrouvèrent donc tellement à plat qu’ils dépassaient d’un bon huit, voire dix centimètres de chaque côté d’elle. Étendue de cette façon, elle ne pourrait pas se relever ni échapper au supplice qui l’attendait. J’ai alors fait un signe de tête à mon frère jumeau, lui indiquant de mettre en marche la douche d’eau glacée, généralement réservée à la reprise du tonus musculaire et cutané. Il actionna donc la douche, déversant directement sur elle une trombe d’eau très froide.
    
    — Arch ! Salaud, c’est glacé ! Arrête ça !… Arch !
    
    La douche ne coula de cette façon que deux ou trois secondes, le temps de la faire crier à pleins poumons, et le jet se changea en une douce et chaude bruine parfumée. J’ai alors lâché ses mains, la maintenant quand même à plat ventre sur la table, et j’ai commencé un doux massage de ses épaules.
    
    — Ce n’est pas gentil de faire ça sans m’avertir… J’ai cru mourir congelée et mes tétons se sont durcis comme des obus sortant de leurs canons !
    — Oui, je sais. Mais avec ce que tu venais de me faire… ou plutôt de ne pas me faire, je n’ai pu résister à la tentation. Tu m’en veux ?
    — Non, continue ton massage, c’est encore meilleur après cette douche froide. On dirait que tu rends la vie à chacune des parties de mon corps.
    
    Faisant le tour de la table afin de me retrouver du côté de son postérieur, j’ai continué mon délicieux massage sur le ...
    ... bas de son dos, ses cuisses et bien sûr… ses fesses, en relevant ces dernières à chaque passage. Je pouvais voir entre elles un petit œillet m’invitant du coin de l’œil à le prendre. Mais cela allait attendre un peu car je devais me vider les testicules au plus tôt. Ils me faisaient mal tellement ils étaient pleins. Cette petite garce adorée m’avait emmené au point de non-retour plusieurs fois et je me devais maintenant de me soulager et de remplir jusqu’à ras bord le deuxième préservatif que je venais tout juste d’enfiler. Relevant un peu plus son postérieur et écartant ses cuisses, je n’ai eu aucune difficulté à me retrouver bien fiché en elle, butant contre le fond de son con dès le premier coup. Ne la ménageant aucunement, j’enfonçais mon gourdin et le ressortais aussitôt, afin de ne pas lui laisser le temps d’en apprécier la présence au fond de sa chatte bouillante. À ce rythme, deux ou trois minutes suffirent à me transporter à la porte du paradis, oubliant même que j’étais là pour le plaisir de Madame. Je sentais la chaleur monter de mes couilles et chercher, en urgence, la sortie. D’un coup, j’ai perdu toute notion du temps, éjaculant en elle à grand coup de reins, n’entendant que mes gémissements et les couinements de cette femme qui m’avait suivi dans ma montée vers le septième ciel. Nous étions deux à en traverser les portes. Deux corps, un seul grand plaisir !
    
    Reprenant ses esprits, France me dit alors :
    
    — Ah, que c’était bon ! On aurait dit que l’eau froide ...