1. Jean-Jean et la kiné


    Datte: 12/09/2020, Catégories: fh, extracon, médical, lunettes, massage, intermast, Oral pénétratio, initfh, h+medical, Auteur: Pascal Laurent, Source: Revebebe

    ... sensation est aussi soudaine que puissante, Fanny semble d’ailleurs la partager car elle abandonne le registre délicieusement moqueur qu’elle avait adopté jusque-là. Elle ferme les yeux et sa bouche s’arrondit en un « Oh » silencieux. Sa respiration s’est soudainement bloquée. Voilà maintenant que son bassin s’arc-boute, appuie sur mon sexe et qu’elle entame de timides mouvements d’avant en arrière.
    
    Ce faisant, mon gland frotte l’ouverture de son vagin mais aussi son clitoris. J’imagine ce qu’elle doit ressentir, d’ailleurs, sa respiration se fait haletante : c’est comme si elle se masturbait contre moi. La sensation doit être nouvelle pour elle et intense car soudainement, elle jouit en expurgeant un flot de cyprine. Elle s’effondre sur moi et je l’entoure de mes bras tandis que le plaisir continue de déferler en elle. Elle retrouve peu à peu ses esprits et quand sa respiration lui permet de parler, elle me dit :
    
    — Ben dîtes donc ! Je ne l’ai pas vu venir ! Un orgasme par jour ! Je n’ai pas l’habitude… mais je crois que je m’y ferais vite. En tout cas, je vous avais promis une récompense mais je me suis laissé emporter car je ne maîtrise pas bien tout ça. Bien sûr, chose promise, chose due.
    
    Sa main se glisse alors sous sa jupe pour saisir ma verge qui n’a pas faibli et la guide à l’entrée de son vagin. D’un léger mouvement de bassin, elle l’introduit en elle, introduction largement facilitée par l’humidité de son récent orgasme. Elle pousse malgré tout un léger cri ...
    ... qui ne semble pas motivé par une quelconque douleur car elle continue de pousser jusqu’à ce que mon gland atteigne le fond de son vagin. Elle se justifie alors :
    
    — Ouah ! Il est gros ! Là, je suis vraiment remplie ! Je n’ai pas l’habitude. Surtout, laissez-moi faire.
    
    Elle entame de nouveau un va-et-vient mais lentement cette fois et avec mon sexe bien enfoncé en elle. Je me sens effectivement bien comprimé entre les parois de son vagin comme si celui-ci n’était ordinairement pas sollicité par un calibre comme le mien ! Pourtant, elle continue de bouger doucement et, miracle de la morphologie féminine, son fourreau s’adapte à la taille de son occupant. Alors, insensiblement, elle accélère le rythme ; mes mains ne restent pas inactives et se sont invitées sous sa jupe pour se cramponner à ses fesses et accompagner ainsi le mouvement. Toujours aussi silencieusement, elle monte et descend régulièrement sur ma verge bien ancrée en elle. Les stigmates du plaisir apparaissent à nouveau sur son visage tandis que le traitement qu’elle m’inflige porte brusquement ses fruits. Une grande quantité de sperme gicle et se déverse en elle. Elle ne s’arrête pas pour autant mais cela facilite encore plus le coït qu’elle me prodigue et tout à coup, elle atteint de nouveau le paroxysme. Elle se fige, le visage déformé par le plaisir, mon sexe toujours figé en elle, sa poitrine écrasant la mienne. Elle est comme tétanisée et, peu à peu, ses muscles se détendent tandis que la tension quitte ...