1. Campus (3)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: fh, 2couples, hplusag, fplusag, jeunes, rousseurs, couplus, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo, échange, fouetfesse, entrecoup, f+prof, bourge, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... la prenais dès qu’elle avait fermé la porte, dans la première position venue. Ces soirs-là, elle était elle-même excitée comme jamais. À la différence des autres jours de la semaine, où lorsque nous faisions l’amour, nous prenions le temps de la tendresse, ce jour-là il n’était question que de désir sauvage et de baise. Nous nous jetions l’un sur l’autre et souvent, il me suffisait de lui soulever sa jupe et de l’attraper par la taille pour plonger mon sexe dans son con humide et chaud. Je la plaquai contre la porte d’entrée debout, lui soulevai une jambe et m’enfonçai en elle.
    
    D’autres fois, c’était elle qui se retournait, qui relevait sa jupe et me montrait son postérieur qu’elle venait d’exhiber à un autre regard, pour que je la prenne en levrette. Une autre fois encore, elle me sautait littéralement dessus pour s’empaler sur mon sexe, ses jambes serrées autour de ma taille. Sa chatte trempée coulissait le long de ma verge sans que ses pieds touchent le sol, mes mains s’agrippant à ses fesses pour accompagner les mouvements de son bassin.
    
    Un autre soir, sans me laisser le temps de réagir, alors que j’avais juste ouvert ma braguette, elle se précipitait sur mon sexe pour l’emboucher. Elle me pompait de façon saccadée tout en me caressant les bourses et en me griffant d’un de ses ongles jusqu’à la raie du cul, et elle ne me lâchait plus jusqu’à ce que j’ai juté dans sa gorge exquise…
    
    Il y avait toujours cette volonté alors, chez elle comme chez moi, de s’adonner ...
    ... immédiatement à nos pulsions comme pour se libérer d’un désir pervers et inavouable. C’était aussi le moment où une légère souffrance, sadique ou masochiste, pouvait trouver sa place. Ainsi régulièrement, elle me griffait le dos, les fesses ou les jambes. Ou bien c’est elle qui me demandait de mordiller ses tétons, de la griffer ou bien de lui donner la fessée.
    
    Elle m’a avoué ensuite que c’était un fantasme qu’elle avait avec le professeur, mais qui bien sûr ne s’était jamais réalisé, (cela je pouvais le vérifier en observant sa ravissante croupe à la pâleur immaculée, excepté par quelques tâches de rousseur). Elle imaginait qu’il la grondait sur son travail, l’allongeant sur ses cuisses pour lui administrer une somptueuse fessée aux claquements bien sonores. Alors que je ne lui aurais jamais fait de mal les autres jours, j’éprouvais un réel plaisir à « jouer au professeur » quand elle me le demandait ces soirs-là, et alors que je sentais ses petits seins frotter contre ma cuisse, j’étais excité de pouvoir la corriger bruyamment et de voir ses lobes fessiers rougir à chaque claque, et garder l’empreinte de mes doigts. Ce dont je la corrigeais, c’était de ses désirs coupables pour un autre homme…
    
    Je me rendis compte qu’avec le temps, cette relation avec le professeur, avait pris une place essentielle dans notre propre couple. Pour rien au monde je n’aurais voulu que cela s’arrête, tant cette situation contribuait à nourrir le désir que nous avions, Gaëlle et moi. Les cours ...
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