-
Cours de danse avec ma cousine
Datte: 12/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Folle de lycra, Source: Hds
Bonjour, c'est votre folle de lycra Dans ma jeunesse je me rendais souvent chez ma cousine Geneviève, elle était danseuse et avait plusieurs années de plus que moi. Quand j’étais jeune j’adorais traîner avec elle car en général il y avait toutes ses copines et du coup j’étais le seul garçon avec 6,8 voire 10 filles. Par moments je me rendais compte que j’étais un peu le boulet de l’équipe mais je prenais tant de plaisir à être entouré de ses jolies filles. Régulièrement je les voyais toutes en body et dans les loges cela sentait bon le minou... En jeunes filles qu’elles étaient, elles adoraient se vêtir de tenues affriolantes. J’avais le privilège de les voir tout se changer. Je les regardais d’un regard innocent, émerveillé et pas encore coquin. Au tout début de mon adolescence, voir ma cousine et ses amies se dénuder devant moi comme si je n’étais pas là commençait à me faire de l’effet entre les jambes, ce que je préférerais par-dessus tout c’est l’odeur de femme qui régnait dans les loges. C’est à cette époque que j’ai commencé à leur emprunter leurs petites culottes pour m’enivrer de leurs odeurs intimes​ pendant que elles, étaient en représentation ou à des répétitions. Je me masturbais maintenant régulièrement dans leurs culottes odorantes puis j’ai passé un cap en les enfilant. La douceur de ses dessous me mettait dans tous mes états. Vu que leurs absences duraient une heure, une heure et demie voire quelquefois 2h cela me laissait beaucoup de ...
... temps libre pour moi et me faire plaisir. C’est ainsi qu’avec le temps je prenais confiance en moi et je gérais surtout très bien mon timing, ce qui me permettait désormais de pouvoir même enfiler une robe, un collant, un body. Tout cela dans des matières douces qui me mettaient dans tous mes états. Il m’arrivait maintenant de me travestir totalement durant ces moments de solitude à attendre ma cousine et ses amies, j’en étais arrivée maintenant à même enfiler leurs escarpins leurs bottines et m’admirer sous tous les angles dans les miroirs éclairés. Voilà des années maintenant que j’agissais ainsi, je prenais confiance et poussais le bouchon toujours plus loin. Maintenant Je poussais le vice jusqu’à me parer de leurs perruques et accessoires divers pour me faire plus belle. Souvent il m’est arrivé de passer tout près de me faire prendre mais à chaque fois j’ai échappé à la honte de ma vie. Cela a duré encore quelques temps jusqu’à ce que je finisse par me faire prendre par une des amies de ma cousine. Je la connaissais depuis très longtemps, j’étais rouge comme une pivoine et ne savais pas où me mettre. Quand elle m’a surpris complètement en femme j’avais presque 16 ans. Hélène, c’était son prénom, a été très compréhensive. Elle était grande belle avec ce petit brin de folie qui me plaisait beaucoup, mais toutes ses amies étaient comme elle. Hélène m’a avoué qu’elle avait des petits doutes car souvent elle retrouvait ses culottes souillées ou avec des odeurs ...