1. Tahiti (suite)


    Datte: 12/09/2020, Catégories: fhh, couple, facial, Oral 69, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, hsodo, Auteur: Hardi7273, Source: Revebebe

    ... Oh oui c’est bon, moi aussi je vais jouir.
    
    Soudain je me tendis, je sentis Fabienne se tendre à son tour et nous sommes partis tous les deux dans une grande jouissance en nous embrassant d’une manière si forte que j’en eus presque mal aux lèvres. Notre baiser si fort finit par se faire plus doux et j’appréciai au plus haut point cette douceur, cette tendresse qui se fit jour entre nous à ce moment-là. Nous en avions presque oublié Thierry qui nous regardait faire.
    
    Après un dernier baiser, Fabienne se retira et vint s’asseoir auprès de moi et faisant signe à Thierry de nous rejoindre elle nous distribua nombre de petits baisers en nous disant qu’elle n’avait jamais autant joui de sa vie. Thierry et moi nous avons dit alors la même chose. Dire que quelques semaines auparavant, je pensais que jamais je ne pourrais avoir ne serait-ce qu’un baiser de cette femme et que je venais de passer quasiment une journée à lui faire l’amour - ainsi qu’à son mari d’ailleurs.
    
    Comme vous vous en doutez, nous étions un peu fatigués et nous avons décidé d’aller nous coucher. Je me dirigeai vers ma chambre, pensant qu’ils avaient besoin de se retrouver seuls pour pouvoir parler de cette journée riche en expérience. Je commençais à somnoler quand j’entendis Fabienne me ...
    ... demander d’une toute petite voix si je ne voulais pas aller avec eux car ils en avaient envie.
    
    Elle était nue devant moi un regard rempli à la fois d’appréhension et de tendresse. Je me levai évidemment bien vite avec un très très grand sourire en lui disant que j’en mourais d’envie mais que je pensais qu’ils préféraient être seuls tous les deux.
    
    Quand je fus debout, elle s’approcha doucement et se collant à moi me donna un baiser si doux et si plein de tendresse qu’il me bouleversa car il était totalement différent des baisers que nous avions échangés jusque-là. Je sentais ses seins sur ma poitrine et malgré tout ce que nous avions vécu ce jour-là, je sentis mon sexe qui frémissait.
    
    — Décidément, tu es insatiable, me dit-elle avec un grand sourire en prenant mon sexe dans sa main.
    
    Toutefois je dois reconnaître que ce ne fut pas une très belle érection et rapidement elle arrêta de me branler puis me prit par la main pour m’amener dans leur chambre où Thierry me fit un grand sourire. Fabienne se glissa dans le lit où elle se tourna vers Thierry. Quant à moi je m’allongeai à côté d’elle me collant à son dos et prenant un de ses seins dans ma main. Elle se mit à rire en me traitant d’obsédé et c’est ainsi que nous nous sommes endormis tous les trois. 
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