1. Lise, une passion torride (4)


    Datte: 11/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: ambre19, Source: Xstory

    ... jean.
    
    J’ai pris l’ourlet de sa robe entre mes doigts, et je l’ai remonté lentement. Lise a passé ses bras derrière mon cou, faisant ainsi saillir ses adorables seins, que j’ai découverts tout doucement. Sa robe enlevée, Lise est restée debout devant Bastien.
    
    Je lui avais offert quelques strings, tout petits, retenus par des agrafes de part et d’autre du triangle de dentelle. Il suffisait de faire sauter ces agrafes, en les tenant entre le pouce et l’index, et le string tombait tout seul. Je trouvais ce geste beaucoup plus élégant et sensuel, que de baisser une petite culotte, et de se pencher pour l’ôter.
    
    L’effet sur Bastien fut immédiat, lorsque Lise se dénuda ainsi entièrement, ne gardant que ses mules à hauts talons : il sortit sa queue dressée de son pantalon, et commença à caresser sa longue tige sombre.
    
    Lise se retourna vers moi, et me déshabilla à mon tour. Moi aussi, j’avais envie d’exposer mon corps au regard de Bastien, même s’il le connaissait par cœur.
    
    — Venez, on rentre, dis-je, en guidant Lise à l’intérieur.
    
    Je ne voulais pas la faire jouir sur la terrasse, car nous sommes trop bruyantes dans ces moments-là, et Bastien nous a suivies.
    
    Lise et moi, dédaignant le canapé, nous nous sommes étendues sur le tapis du salon, face à Bastien qui s’était assis confortablement dans le canapé, pour jouir du spectacle.
    
    Elle s’est de nouveau blottie contre moi, et ma main est descendue sur son ventre plat. Je lui ai murmuré à l’oreille :
    
    — Montre ...
    ... lui ta petite chatte...
    
    Sans protester, elle a écarté ses cuisses, et a ouvert son minou du bout des doigts. Ma main a remplacé la sienne, pour découvrir son bouton d’amour dardé. Je l’ai caressé longuement, arrachant à Lise de longs soupirs de plaisir, avant d’écarter ses petites lèvres brillantes de cyprine.
    
    J’ai commencé à la doigter, devant un Bastien médusé. Elle gémissait, elle coulait sur mes doigts. Puis c’est elle qui m’a dit à mi-voix :
    
    — Moi aussi, je voudrais m’occuper de ton petit abricot, devant ton copain.
    
    Je ne demandais que ça ! Je me suis étendue à demi, en appui sur un coude, mes cuisses ouvertes aussi largement que celles de Lise. C’était à son tour de me caresser, et de fouiller ma grotte trempée de mouille.
    
    Ma main était remontée entre ses fesses. J’ai écarté les deux globes bronzés, et Lise s’est cambrée pour mieux m’offrir son petit trou.
    
    Elle me bouffait maintenant la chatte, et je poussais des petits cris de plaisir, tout en faisant tourner un doigt plein de mouille autour de son œillet tout serré. Elle a crié, quand ma phalange a forcé l’entrée de son petit cul, et s’est enfoncée doucement.
    
    Bastien s’était levé, pour mieux nous voir, et ne rien perdre de ce que nous nous faisions. Sa présence à côté de nous m’excitait, mais à ma grande surprise, elle excitait Lise au moins autant. Sous ses yeux, nous nous étions transformées en deux chiennes en chaleur, à la poursuite de leur plaisir, sans pudeur ni tabous.
    
    Nous nous doigtions ...
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