1. M comme Mélanie


    Datte: 11/09/2020, Catégories: fh, jardin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, initfh, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Maître…
    
    En effet, elle est prête si j’en crois son habillement du jour, une mignonne robe que je qualifierai de très légère…
    
    — Fais voir ton cul !
    — Oui, Maître.
    
    Docile, elle soulève sa robe légère, me présentant ses fesses après s’être retournée. Bien sûr, elle ne porte plus de culotte depuis nos premières expériences, ça simplifie les choses et ça nous rappelle quelque part bien des souvenirs pourtant bien proches. Beau cul, en effet, dont je ne me lasse pas ! J’adore l’embrasser, le caresser tendrement, le fouetter cruellement, faire vibrer ses masses sous ma main, le voir rougir, pour venir ensuite le câliner, y souffler le chaud et le froid, le piquant et la douceur.
    
    Je m’empare d’une pince à linge pour maintenir sa robe relevée, puis je lui ordonne :
    
    — Penche-toi, appuie-toi sur le dossier !
    — Bien, Maître !
    
    Elle obéit, comme elle le fait toujours. Rien à redire sur sa docilité ! Je m’empare de la cravache souple, celle que je sais manier le mieux. Je donne un premier petit coup, juste pour prendre mes repères. Puis, dans le prolongement de son corps, je commence à taquiner horizontalement ses fesses du bout de la cravache afin qu’elles rougissent un peu. Je commence la plupart du temps en mode piquant, sans donner des coups transversaux, je les réserve pour plus tard en général. Parfois je n’en applique pas.
    
    — Tu aimes, petite chienne ?
    — Oui, j’aime, Maître !
    
    Je cingle de plus en plus fort ce beau cul, mais en faisant attention, car mon ...
    ... but n’est pas de détruire mon plus beau jouet ! J’aime en abuser, le forcer, mais certainement pas le casser ! Néanmoins, je décide de donner quelques coups transversaux, le plus à plat possible pour bien répartir l’impact et voir vibrer la chair molle de ses fesses ainsi suppliciées. Mais avant, j’exige :
    
    — Pour chaque coup donné, tu me remercieras !
    — Oui, Maître !
    
    Je me positionne au mieux, je pose la cravache contre ses fesses pour ajuster mon premier coup. Elle frémit sous le contact de la tige. J’écarte un peu le bras pour vérifier si tout est ok. C’est par ce qu’elle sait que je suis pointilleux sur ce genre de choses qu’elle me fait confiance, et sans confiance, la D/s n’est qu’un faux-semblant !
    
    La cravache siffle dans l’air pour venir s’abattre de façon sonore sur ses fesses.
    
    — Merci, Maître !
    
    Ses chairs ont vibré, c’est incontestable, mais je sais qu’elles peuvent plus. Le deuxième coup arrive aussitôt, plus sec.
    
    — Merci, Maître !
    
    Je recule un peu, effleurant ses fesses pour mieux ajuster le coup suivant. Celui arrive deux secondes plus tard, cinglant.
    
    — Ouh ! Merci, Maître !
    
    Je change de côté, pour répartir la douleur. J’ajuste à nouveau ; le quatrième qui s’abat sur ses fesses est plus faible.
    
    — Merci, Maître !
    
    J’ai décidé de me limiter à six coups, comme au western. Parfois, je vais nettement plus loin, mais jamais, elle n’a dit « rouge ». Elle aime parfois aller loin, très loin même, et moi, je veille à ne pas outrepasser ses ...