URSULA - Histoires de Sexe

URSULA

... or je voulais profiter d’elle toute la fin de la nuit, sachant qu’une telle occasion ne se représenterait pas de sitôt.

Du coup, je la relevais et l’amenais dans mon salon où je l’installais dans le canapé pour pouvoir à mon tour lui offrir des caresses buccales. Je lui retirais son string et je m’agenouillais devant elle entre ses jambes, profitant de sa totale nudité pour enfin apprécier son corps. Sa vulve totalement rasée, était humide et luisante de cyprine, ses lèvres gonflées de désir et je m’attelais aussitôt à la lécher et à découvrir son petit bouton que je suçais avidement. Elle avait à son tour posé ses mains sur ma tête, m’encourageant par la même à continuer ce cunnilingus qui lui procurait un plaisir certain et lui arrachait des gémissements et des râles de plaisir. Elle eut ainsi un orgasme d’une formidable intensité qui lui arracha des cris alors que ses mains se crispaient sur mes cheveux, et qu’elle plantait ensuite ses ongles dans mon cou, le corps parcouru de spasmes.

Je me redressais et m’approchais alors de son intimité, tenant mon sexe d’une main. Je commençais par le frotter entre ses lèvres pour le lubrifier et je la pénétrais d’un coup jusqu’à la garde lui arrachant un cri de plaisir. J’allais et venais en elle depuis un moment lorsque je décidais de m’assoir sur le canapé et de la faire venir sur moi. Elle me chevaucha et je pouvais ainsi profiter de ses seins que je dévorais à pleine bouche tout en les pétrissant vigoureusement. Elle ...

... ondulait du bassin totalement empalée sur ma queue, son clitoris frottant contre mon pubis, elle eut un nouvel orgasme et s’effondra sur moi, incapable de bouger. Je l’aidais alors à se retirer, elle se mettait à quatre pattes sur le canapé, m’offrant une vision merveilleuse de sa vulve et de ses fesses. Je la prit en levrette sans ménagement, m’accrochant à ses hanches pour m’enfoncer le plus profondément possible dans sa chambre d’amour. J’étais tellement excité, que je lui délivrais de véritables coups de boutoirs qui explosaient le fond de sa grotte. Je lui labourais le vagin comme un forcené et je jouissais en elle en criant comme un fauve en rut.

Nous nous étions quittés peu après, elle était rentrée retrouver son copain.

Je m’approche d’Ursula qui regarde la devanture d’une boutique de vêtements et l’accoste :

« Bonjour belle jeune fille… » Elle se retourne surprise, me reconnait et son visage s’illumine de son plus beau sourire, ses yeux pétillent. Nous nous embrassons comme de vieux amis.

« oh Joël …. comment vas tu …. depuis le temps? »

« très bien et toi… »

« oh rien …. la routine… »

« tu n’as pas changé … tu es toujours aussi belle »

« oh arrête … »

« tu as un peu de temps, on prend un café? »

« oh oui avec plaisir, j’ai l’après-midi pour moi »

Nous nous installons devant nos cafés, et reprenons notre discussion. Après quelques mots sur le travail, la conversation se recentre sur nous.

« et en dehors du boulot, que deviens tu? Ta fille ...